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 Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy

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MessageSujet: Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy    Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy  Icon_minitimeJeu 22 Déc - 16:00


Kennedy & Flora

Une journée ordinaire, une soirée qui suit la logique des choses. Tout se passait pour le mieux. Bien entendu le temps des fêtes n’était pas vraiment le moment que j’appréciais le plus mais bon comme il fallait y aller. Ce soir je n’aurais pas dû me retrouver à l’Aphrodite, j’étais censé avoir mon soir de congé mais une de mes collègues étant absente j’ai dû prendre la suite de son numéro. Je n’étais ni furieuse ni frustrée ma soirée aurait été vide de sens j’aurais picolé dans un bar ou bien chez moi et j’aurais finit morte saoule dans mon salon. Rien de bien palpitant quoi. La salle était déjà en folie et je regardais le public d’homme. Mon show allait commençait et je pouvais voir un type que je ne supportais pas non loin de la piste. Soupirant longuement je suis rentré. A ce moment là Flora resté au placard et Nausicaa rentrait en piste. Je devenais une autre femme. J’aimais les deux femmes que j’étais. Féline, séductrice, tentatrice. Alors que mes vêtements tombaient sur l’estrade et que je descendais chauffer les hommes par un seul frôlement ou un contact rapide j’ai senti quelqu’un m’attrapé par les bras et me tiré à lui. « Vient par-là ma belle ! » Ses mains poisseuses se sont posés sur mon corps à demi nu alors qu’il me tirait de force sur ses genoux. Ce pervers avait une érection et mon cœur battait la chamade, je suis loin d’être excitée par son état bien au contraire. Il me tient les bras assez fermement. L’alcool qu’il a bu depuis le début de la soirée me monte au nez et une nausée me prend rapidement. Je connais ce client c’est un mafieux assez puissant, il paie bien mais à une certaine tendance à vouloir peloté les stripteaseuses et celles qui ne veulent pas ? Il les force. Cet homme faisait deux tailles de plus que moi et je devais bien l’avoué sa poigne était tellement importante que je n’arrivais pas à me défaire de son étreinte. L’alcool lui donnant un pouvoir sur moi que je ne pouvais pas supporter. La soumission ce n’est pas mon genre du tout, plus depuis trois ans déjà. Je sens la colère me rongeais, la peur se mêlant à celle-ci, je n’avais rien pour me défendre, rien de plus que mes petits poing contre une bande d’enfoiré qui rigolait à gorge déployait alors que mon bourreau s’excité de ma situation de victime.

« Lâche-moi espèce de connard ! » Je tirais sur mes bras, je ne voulais pas qu’il me touche. C’était dans mon contrat avec Sev, si un homme posait la main sur mon corps alors que je n’étais pas d’accord je lui exploserais la tête sans aucune hésitation même si c’est un bon client, même si il paie bien et qu’il est en relation avec lui ça m’étais égal. Personne ne me fera passé pour une victime c’était terminé ce passage de ma vie ou j’étais la victime et ou les hommes, un homme, était mon bourreau. Je devenais le bourreau et j’écraserais ceux qui se pensaient plus fort que moi. Il faut se méfier de l’eau qui dort, c’est tout à fait ça. J’étais frêle certes mais si j’avais réussis à prendre mon mari de dix coups de couteau alors que celui-ci était bien plus fort et absolument pas droguée comme je l’étais. Une de ses mains a attrapé mon visage pour que j’arrête de me débattre. Je sentais la chaleur de son corps se dégageait alors que ma mâchoire me faisait mal au vue de la pression qu’il exerçait sur celle-ci. « Tu veux vraiment t’en prendre à moi ? Méfie-toi parce que je pourrais très bien m’occupais de ta belle gueule en un rien de temps. » Sa pathétique menace ne m’avait pas fait frissonner et mon cœur ne battait plus qu’à un rythme irrégulier parce que j’étais furieuse. Furieuse contre cet homme que je ne connaissais pas. Furieuse contre moi-même de ne pas avoir été capable de me dérobé en le voyant lui et ses amis attendre mon show. Furieuse d’être une femme et de ne pas pouvoir me défendre comme un homme. Mes yeux sombres se sont plantaient dans ceux de mon agresseur alors que ma voix devenait glaciale et menaçante. « Approche-toi de moi et je te jure que ça sera la dernière chose que tu feras de toute ta vie. » Le ton de ma voix était dure et je savais que je serais capable de le pourchassé dans tout Seattle pour avoir ma vengeance sur cette humiliation qu’il m’offrait à ce moment même. Finalement avant qu’il ne puisse faire claquer ses doigts contre mon visage un videur est venu à ma rescousse. Me tirant des genoux de l’alcoolique avant de me ramener jusqu’aux loges ou se trouvait des filles mais surtout Kennedy.

C’est une amie stripteaseuse, je m’entends vraiment bien avec la demoiselle, elle est surement celle avec qui je m’amuse le plus. On aime faire des shows sensuels devant les hommes pour avoir un peu plus d’argent et croyez-moi, je ne sais pourquoi mais deux femmes ensemble ça excite tous les hommes de la salle et les billets commencent à pleuvoir. Tremblante l’homme me ramène jusqu’à la jeune brune. « Tu t’occupes d’elle s’il te plait. » J’ai fait demi-tour alors que l’homme m’avait déjà cramponné par la taille pour que je ne ressorte pas des loges. Soit disant que me battre avec ce client aller m’apporter des ennuis. La rage était tellement présente en moi que je ne sentais même pas les bleus s’affichaient sur mon corps, les bleus qu’il m’avait fait en me saisissant comme si je n’étais qu’une vulgaire poupée de chiffon entre ses mains de pervers. La mâchoire crispé je me suis assise alors que l’homme partait pour s’occuper des perturbateurs. La gorge nouée par la colère, mon corps tremblant je n’étais pas capable de parler, du moins pas tout de suite. Il m’a fallu quelques secondes et une cigarette planté entre mes lèvres pour essayer de me détendre. « Je te jure que je vais aller le planté en sortant de l’Aphrodite. Il ne va pas s’en tiré avec une petite tape sur les doigts de la part de Sev je vais le tuer cet enfoiré. » J’étais comme ça. Je pétais les plombs dès lors que quelque chose me rappelait mon ancienne vie. Et là tout de suite c’était la soumission qu’il m’avait imposé pendant quelques secondes.
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MessageSujet: Re: Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy    Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy  Icon_minitimeVen 23 Déc - 17:57



Flora & Kennedy ♥
« Je serais toujours là pour toi et même si tu dois m'en vouloir... »


Ce soir-là, l'Aphrodite était plein à craquer comme beaucoup d'autres soirs d'ailleurs. La salle qui recevaient les jeunes stripteaseuses, était bondée et enfumée. La jeune brune ne put s'empêcher d'entrebâiller les lourds rideaux qui empêchaient les clients d'avoir une vue sur les loges et elle contempla le spectacle. Tout les clichés étaient enfermés dans une même pièce à siroter ça et là des bières ou des alcools beaucoup plus fort. Il y avait les jeunes puceaux qui ne pouvant accéder par d'autres moyens aux jeunes filles venaient se rincer l'oeil et se payer une belle érection ici. Il y avait les hommes d'affaires qui après avoir signé un contrat juteux venait fêter dignement ce nouvel accord et claquer quelques billets qui n'avaient pas encore gagné. Au milieu de cette cohue il y avait aussi les pères de famille aimant mais surtout au premier rang il y avait cette bande de mafieux qui riaient beaucoup trop fort et qui semblaient se prendre pour les rois du monde. Kennedy eut un sursaut de recul et une grimace de dégout lorsque le plus imposant et bien évidemment le chef de ce petit gang de quatre, déboutonna le bouton de son pantalon pour de toute évidence se sentir plus à l'aise et laisser un peu plus de liberté de mouvement à sa chose.

Une fois qu'elle eut fermée les rideaux hâtivement, la jeune Kennedy rejoignit les autres stripteaseuse qui se préparaient avec beaucoup de minutie dans les lodges. Son tour sur scène était déjà passé et la soirée n'étant pas encore à son apogée, elle attendait encore un peu avant de commencer ses shows privés, elle s'octroya donc un peu de repos et alla près d'une coiffeuse afin de se refaire une petite beauté, son peignoir en soie bleuté entourant son corps à demi nue et frêle.
Kennedy salua Flora qui montait sur scène et lui servi un clin d'oeil pour l'encourager. La belle Flora était probablement la stripteaseuse avec laquelle Kennedy s'entendait le mieux, leur amitié était fusionnelle et surtout sans prise de tête. Ensemble elles s'amusaient sur scène et Sevastien avait été séduit par l'idée lorsqu'elles lui avaient proposées de faire des shows ensemble où elles aimaient s'exhiber d'une manière sensuelle à deux. Et elles avaient vu juste, l'argent pleuvait dès qu'elles se montraient ensemble et parfois on leur demandait des représentations à deux. C'était un moyen de se faire un peu plus d'argent et de prouver par la même occasion que la théorie des Lesbiennes est bien quelque chose qui excite les mecs au plus au point.

Finalement, des éclats de voix la tira de ses pensées. Elle remarqua plusieurs Stripteaseuses agglutinées autour du rideau pourpre et observer la scène qui se jouer dans la salle. Kennedy se rappela que Flora était sur scène et elle pensa immédiatement qu'il aurait pu lui arriver malheur et elle se précipita vers l'entrebâillement pour voir ce qui se passait de ses propres yeux. Qu'elle fut sa surprise lorsqu'elle vit Flora aux prises avec le mafieux le plus redoutable de la salle. Elle n'avait qu'une envie allait secourir son amie, cependant lorsqu'elle se souvint de la réputation de ce goujat et son identité, elle se retint, son élan d'héroïsme étant tombé au plus bas. Elle ne put s'empêcher de soupirer d'agacement devant ce troupeau de Stripteaseuse à moitié nue qui préféraient observer la scène plutôt que de se rendre utile, c'est pourquoi elle demanda à un des videur de la boîte d'aller récupérer la fougueuse Flora avant que les choses ne s'enveniment et retourna à son observation en espérant que tout aille pour le mieux en attendant que le videur accomplisse sa tâche. " Je t'en supplies Flora fais pas de conneries... C'est pas pour rien qu'on l'appelle le Flingueur... " murmura-t-elle entre ses dents, les doigts croisés. D'où elle se tenait la brunette se sentait totalement impuissante, elle ne pouvait rien entendre, simplement voir les lèvres bouger de la belle Flora et les sourcils du mafieux se froncer un peu plus à chaque paroles qu'elle semblait prononcer. Il semblait vraiment contrarier et cela ne signifiait rien de bon. Finalement le videur fit son apparition et Kennedy put souffler en voyant son amie être éloigné de ce porc.

" Tu t’occupes d’elle s’il te plait. " Kennedy acquiesça lorsque le videur lui remit Flora en main propre qui ne demandait qu'à y retourner pour se battre et elle le remercia avant qu'il ne s'éloigne. Dans d'autres circonstances Kennedy aurait été la première à aller à la bagarre avec Flora, elle avait le même tempérament bagarreur et avait toujours trouvé que régler ses comptes à coups de poings était une idée géniale, seulement le client de ce soir n'avait rien d'humain et aller au combat, signer votre arrêt de mort. Autant se tirer une balle dans la tête tout de suite, au moins ça aurait l'avantage d'être moins douloureux que ce que ce type pourrait vous réserver. Heureusement pour Flora ce soir il y en avait au moins une des deux qui été lucide, et c'est pourquoi la brunette guida son amie vers le siège le plus proche afin qu'elle puisse reprendre ses esprits. "Allez Flora, on va essayer de faire quelque chose pour ses vilains bleus qui commencent à apparaître." Celle-ci ne semblait pas décolérer et il y avait de quoi, elle était toute tremblante et finit par porter une cigarette à la bouche. Quand on dit que la cigarette est un remède anti-stress, il n'y a rien de plus vrai. Et Flora légèrement calmé put enfin prendre la parole, et même si c'était pour montrer qu'elle était remontée à bloc, c'était déjà un bon début. " Je te jure que je vais aller le planté en sortant de l’Aphrodite. Il ne va pas s’en tiré avec une petite tape sur les doigts de la part de Sev je vais le tuer cet enfoiré." Kennedy se sentait impuissante face à la détresse de son amie, surtout que d'habitude elle démarrait de la même façon, elle se voyait donc mal de lui donner des leçons et pourtant ce soir, il faudrait bien qu'elle joue la voie de la raison. "Flora, je t'en supplies, Calme-toi ! Je sais que je suis très mal placée pour te dire cela mais je t'en supplies pour cette fois-ci laisse glisser ! "

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MessageSujet: Re: Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy    Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy  Icon_minitimeLun 26 Déc - 0:52


Kennedy & Flora

La colère était quelque chose que je ressentais très rapidement et qui ne partait pas aussi facilement de mon être. Je n’étais pas capable de redescendre et de me calmer dans la minute qui suit. En plus je pouvais être particulièrement violente quand on me cherchait ou que l’on me rabaissé. Je n’étais pas une bagarreuse, je ne cherchais pas les embrouilles comme lorsqu’on est adolescent et que l’on veut toujours se battre et se disputer. Non je m’énervais pour quelque chose de concret, quelque chose qui m’arrivait et ou je n’étais pas capable de pardonner, laisser couler. L’état dans lequel cet homme m’a mis va être presque impossible à calmer. Impulsive je voulais repartir me battre avec ce mafieux qui me tirera surement une balle entre mes deux jolis yeux mais je m’en fou royalement. Je ne veux pas avoir peur des clients, je ne veux plus jamais avoir peur, jamais. Vivre enfermé dans ma chambre, en me demandant si j’ai bien fait de sortir mon cocon. J’étais certes stripteaseuse mais j’avais aussi le droit au respect, un objet de désir ok mais pas un objet de soumission, je ne suis pas une carpette qui se met à genoux quand on lui et qui fait toutes les volontés des hommes. Non. Coucher avec des clients du club déjà ce n’est absolument pas mon genre mais alors avec ce genre de type c’est non directement. Cet homme était un rustre incapable de séduire, il fallait qu’il prenne ce qu’il souhaitait et qu’il jette ensuite. Dès que je vois cet homme je pense à Bekah j’espère sincèrement qu’elle n’aurait jamais affaire à lui. Non pas que les autres peuvent se faire maltraitée non pas du tout c’est juste qu’elle était plus jeune que nous. Et… Bref c’était un abruti sans nom et je ne devais pas le laisser ainsi, le laisser impuni, il allait souffrir. Et même ma cigarette entre mes lèvres n’arrivait pas à me calmer. J’ai essayé de me relever plus d’une fois me faisant assoir par ma camarade stripteaseuse. Tous les regards des autres femmes étaient sur moi et à part un grondement de mécontentement elles n’ont rien eu de ma part. Aucune insulte, aucun cri. Je n’avais pas beaucoup d’amis à l’Aphrodite, je ne peux aimer toutes les femmes qui se trouve par ici, je ne suis pas non plus un énorme bisounours qui accepte tous et n’importe quoi. J’avais mon caractère. Caractère de feu je dois bien le dire. « Allez Flora, on va essayer de faire quelque chose pour ses vilains bleus qui commencent à apparaître. » Des bleus ? Comment ça des bleus ? Je ne regardais même pas mes bras de peur de m’énerver encore plus, mais ma mâchoire en avait aussi pris un coup puisque j’avais un bleu sur la joue qui formait la trace de ses doigts. Il ne m’avait pas réellement fait mal seulement ma peau blanche accrochait toutes les marques très rapidement. Je lui disais donc que j’allais planter cet abruti à l’odeur nauséabonde, cet alcoolique un peu trop amateur des stripteaseuses. Cet abruti qui n’allait rien avoir de la part du patron des lieux. Même si nous étions amis Sev ne mettra jamais dehors un bon client parce qu’il a touché une de ses danseuses. C’est un peu comme si une prostituée se plaignait qu’un de ses clients lui demande telle ou telle chose. Nous n’avions rien à dire. Nous étions des poupées que l’on pouvait frôler, toucher et baiser comme bon semble. Certes les danseuses n’avaient pas a aller jusque-là mais les prostituées n’avaient plus qu’à la fermer sur les agissements de leur client. Sevastien était adorable mais avait un caractère à la con en ce qui concerne les règles.

"Flora, je t'en supplie, Calme-toi ! Je sais que je suis très mal placée pour te dire cela mais je t'en supplie pour cette fois-ci laisse glisser ! » Laisser glisser ? Vraiment ? Elle me demander de faire cela ? C’était un peu comme si je disais oui à ces avances. Cela voulait dire qu’il me faisait peur, que je ne souhaitais pas me monter contre lui. Alors qu’au contraire son statut de mafieux ne me faisait pas peur loin de là. Serrant la mâchoire douloureusement je relève les yeux vers la jeune femme alors que je tirais longuement sur ma cigarette. « Non non Kennedy il ne va pas s’en tirer aussi facilement, c’est trop facile de se dire je vais laisser glisser. Bahh en plus j’ai encore son odeur dans le nez à ce pourri. Tu sais quoi il était excité par ce qu’il faisait, plus je gueulais et plus je le sentais bander, je vais aller lui casser les dents. » Je me suis relevé alors que je sentais une légère douleur au niveau la taille, baissant les yeux j’avais la marque de sa main autour de mon ventre, mon regard s’assombrit encore plus. La colère faisait battre mon cœur à un rythme très irrégulier. Mes mains légèrement tremblante je fini par dire autre chose. « Il m’a menacé en plus comme si ce sale type me faisait peur ! Je t’assure que si Leo n’était pas venu je lui aurais craché dessus. Peut-être qu’il m’aurait lâché. » Un mafieux qui menace ce n’est jamais à la légère au mieux il me cassera une ou deux dents au pire j’irais à l’hôpital. Tant pis.

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MessageSujet: Re: Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy    Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy  Icon_minitimeLun 2 Jan - 22:44

Kennedy L. Smythe a écrit:


Flora & Kennedy ♥️
« Parce que l'amitié c'est aussi permettre à l'autre de nous détester... »


Kennedy observa Flora coller une cigarette entre ses lèvres et réalisa rapidement que cela ne la calma pas en vue du tremblements de ses mains. Elle était dans un tel état de colère qui dépassait Kennedy, qui pourtant avait elle aussi tendance à ne pas supporter qu'on la touche, mais bon elle relativisait, elle savait que c'était comme cela et avait finit par l'accepter ou du moins faire avec. En même temps, elle n'avait pas eu le même parcours que Flora et avait su éviter les coups de son père. Mais cela elle l'ignorait, elle ignorait tout de la vie tumultueuse de la belle Flora. En réalité, elle se rendit compte qu'elle connaissait que très peu de chose de cette jeune femme qui jouait les complices avec elle sur scène. Elle connaissait davantage la Flora avec qui elle avait une amitié fusionnelle, la fougueuse Flora avec qui elle pouvait tout se permettre, celle qui lui avait appris les ficelles du métier, elle lui devait beaucoup. Elle savait également qu'une part plus sombre sommeillait en la belle, il suffisait de voir comment elle réagissait avec les hommes, elle avait du caractère mais cela avait aussi plus à Kennedy, elle aimait se tempérament de feu et cette fougue qui se dégageait de Flora. C'était une femme forte et pour cela Kennedy l'admirait beaucoup. Cependant ce soir-là, il faudrait quand même que Flora veuilles bien se plier, à moins qu'elle soit totalement suicidaire...

En tout cas pour le moment, bien que Kennedy prenne son rôle de protectrice très au sérieux, elle n'avait fait qu'accentuer la colère de Flora. Elle avait tout d'abord mentionnée les bleus qui recouvraient peu à peu le corps de la Stripteaseuse, laissant des traces indélébiles. Elle avait vu à ce moment là des flammes danser dans les yeux de Kennedy et fut ravi que ceux-ci ne puissent lancer d'éclairs. Le pire était celui qui apparaissait sur sa joue et montrant une empreinte nette de cinq doigt bien détouré. Kennedy s'en mordit les lèvres et un grognement de la part de Flora envers les autres Stripteaseuses la ramena rapidement à la réalité et elle se rappela ce qu'elle avait promis à Flora s'occuper de ses bleus et surtout essayer de les estomper. Mais avant cela il fallait faire évacuer ses sangsues friandes du moindre scoop. " Bon les emmerdeuses de l'air, vous avez pas des vêtements à aller faire tomber ou quelques mecs à aller chauffer ! "s'énerva-t-elle en se retournant vers les vautours qui la toisa d'un oeil mauvais mais qui ne demandèrent pas leur restes. Si en plus de Flora, Kennedy était énervée, à elles deux elles démolissaient tout. Tout le monde savait qu'elles avaient forts caractères et en plus de cela, l'une comme l'autre était amie avec le patron. Autant dire que les deux amies se faisaient rarement emmerder par les autres filles. Kennedy attrapa par le bras une jeune stripteaseuse qui s'éloignait penaude, celle-ci n'était pas bien méchante. Elle venait de débuter et n'était encore pas très assurée. " Eloïse, veux-tu bien me rendre un service ? Va à la cuisine me trouver des glaçons et un torchon". La jeune fille acquiesça d'un hochement de tête et s'empressa d'aller vers la cuisine. Quant à Kennedy elle se recentra sur son amie qui lui confia qu'elle ne désirait qu'une chose : planter ce connard qui malheureusement pour elle, porter le doux nom de Flingueur. Bien évidemment ce que Kennedy lui répondit n'eut pas l'effet escompté, en même temps cela aurait été trop facile, et puis elle était tellement furax que Kennedy avait été bête de penser que ce serait aussi facile de tout simplement lui demander de laisser glisser. Sa réaction ne se fit pas attendre et la jolie brune ne fut pas épargnée. "Non non Kennedy il ne va pas s’en tirer aussi facilement, c’est trop facile de se dire je vais laisser glisser. Bahh en plus j’ai encore son odeur dans le nez à ce pourri. Tu sais quoi il était excité par ce qu’il faisait, plus je gueulais et plus je le sentais bander, je vais aller lui casser les dents." La brunette s'accroupit et posa une main qui se voulait réconfortante sur le genoux de la belle Flora. Elle essayait d'être maternelle et de rester elle même calme, car oui si elle le pouvait elle irait elle-même lui trancher son pénis pour ensuite lui faire avaler à ce gros porc ! Il y avait bien trop d'homme comme lui qui restait impuni. "Je le sais Flora, je sais que ce que je demande te semble impossible et j'espère que tu sais aussi que dans d'autres circonstances j'aurais été la première à venir lui péter les dents avec toi ! "lui répondit-elle d'un ton compatissant et sincère. De toute façon elle savait pertinemment qu'il n'y avait pas de phrase magique qui calmerait Flora, il fallait juste essayait de la contenir, ne pas plus l'énerver et surtout attendre que ça passe sans qu'elle fasse de connerie. Flora esquissa un mouvement pour tenter de se relever, Kennedy se redressa et fit un pas en arrière afin de lui laisser toute la liberté dont elle avait besoin. Ce qui fit apparaitre une jolie trace sur son abdomen et Kennedy ne put s'empêcher de s'en mordre les lèvres et de froncer les sourcils soucieuses de la réaction de Flora qui ne tarda pas à exploser. "Il m’a menacé en plus comme si ce sale type me faisait peur ! Je t’assure que si Leo n’était pas venu je lui aurais craché dessus. Peut-être qu’il m’aurait lâché. " "Putain, merde Flora ! C'est pas pour rien que ce type se fait appelé le Flingueur ! "répondit Kennedy en perdant un peu de son calme et sous le coup de l'impulsivité. Elle se radoucit cependant très rapidement devant le caractère borné de son amie. " Alors s'il te plait, promets-moi que tu ne fera pas de conneries "Finit-elle dans un souffle. C'est à ce moment là que la jeune Eloïse décida de réapparaitre, une poche de glace enroulée dans un torchon. Kennedy la regarda à peine et la remercia du bout des lèvres lorsqu'elle récupéra la poche. La jeune stripteaseuse ne demanda pas son reste et s'effaça rapidement de la pièce. Kennedy, elle, reporta son attention sur son amie, soupira, et lui fit un petit sourire timide." Alors on essaye de faire la guerre à ses vilaines marques dans un premier temps ? "
Kennedy n'attendait qu'une chose que Flora donne le feu vert afin qu'elle puisse s'approcher d'elle et passer cette poche de glace sur son corps. Elle avait également essayé d'introduire une touche d'humour afin de détendre un peu l'atmosphère après son petit coup de gueulante.

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MessageSujet: Re: Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy    Le sort fait les parents, le choix fait les amis | Kennedy  Icon_minitimeMar 10 Jan - 14:59


Kennedy & Flora

Ce côté impulsif de ma part était peut être mon plus gros défaut, je ne supportais pas qu’un homme me touche de cette manière. C’était peut-être gonflée de demander de la considération quand on se déshabille devant des tas d’hommes pour activer leurs hormones mais c’était la moindre des choses. Je n’étais pas là pour leur faire plaisir, j’étais là pour chauffé l’assemblé. Je ne couchais pas avec les clients. C’était une règle d’or. A moins bien entendu que ce soit en dehors de mon travail, je n’acceptais aucun paiement pour ce genre de chose. En gros j’étais pas une prostituée, grâce à ce statut je n’étais donc pas obligée d’accepter ce genre de comportement vis-à-vis des hommes de l’assistance, les sentir s’excité ok, des frôlements pourquoi pas, mais que l’on me force à venir sur leur jambes je dis non. Chaque fille à ses limites, certaines ne se laissaient absolument pas toucher ni même frôler, d’autres au contraire s’amuser avec le corps des hommes et d’autre encore accepter de briser leur règle et emmener leur client dans un coin pour qu’ils passent aux choses sérieuses. Chacune avait une vie différentes, on en était tous au même point mais nous avions des expériences qui faisait que, nous étions différentes. Moi j’étais de celles qui ne supporter pas la violence et bien entendu la drogue mais ça c’était autre chose. Reportant mon attention sur Kennedy qui me dévisageait mon visage déformait par la rage et la colère je pouvais voir les filles avec qui je bossais me regardais comme une bête curieuse. Je dois bien avoué que je dois avoir une tête à faire peur, a moitié nue assise sur une chaise avec les mains qui tremblent et des bleus qui apparaissent sur le corps. " Bon les emmerdeuses de l'air, vous n’avez pas des vêtements à aller faire tomber ou quelques mecs à aller chauffer ! " Mes collègues s’en vont sans rien demander, je crois que nos caractères pourris leur font peur ou alors c’est parce que je suis une vieille amie de notre patron et qu’elle est proche de lui aussi ? Je ne saurais dire, quoi qu’il en soit elles s’en vont et c’est tant mieux pour elle parce que je commençais à vraiment me sentir mal. Qui dit se sentir mal, dit énervement et surtout pétage de plomb. J’allais en coller une à une de mes collègues et ce n’est pas réellement ce que je veux. M’engouffrant dans un profond silence je regarde Kennedy prendre les choses en main et essayer de calmer. " Eloïse, veux-tu bien me rendre un service ? Va à la cuisine me trouver des glaçons et un torchon" Chouette je devais vraiment faire peur c’était définitif, je n’osais pas regarder mes bras et mon reflet dans le miroir de peur d’y voir des bleus un peu trop prononcer. La jeune Eloïse est partie sans demander son reste alors que je reprenais la parole, toujours sur les nerfs, je lui annoncer ne pas être capable de le laisser s’en tirer si vite, si facilement, c’était trop facile, un homme pouvait être fort s’en prendre à des femmes mais une femme ne devait pas s’en prendre à un homme sous peine d’être tué ? Je me foutais d’être tué, je lui aurais éclaté les dents si notre videur n’était pas venu. "Je le sais Flora, je sais que ce que je demande te semble impossible et j'espère que tu sais aussi que dans d'autres circonstances j'aurais été la première à venir lui péter les dents avec toi ! " Je soupirais essayant tant bien que mal de calmer et de surtout calmer les battements erratiques de mon cœur. Je le sentais cogner douloureusement contre ma poitrine. « Tu l’as dit Kennedy ce que tu me demandes est impossible et improbable, je ne peux pas m’empêcher de repenser à ça. Je l’ai dit à Sev que si un macro venait à poser les mains sur moi je lui éclaterais la tête en public. Je tiens toujours mes promesses. »

Finalement après ce petit discours je tiré sur ma cigarette plus longuement avant de lui dire que l’homme m’avait menacé, oui parce qu’en plus de me retenir contre son corps il m’avait menacé pour que je me tienne tranquille. Comme si ça fonctionner ce genre de chose. "Putain, merde Flora ! Ce n’est pas pour rien que ce type se fait appelé le Flingueur ! " J’haussais les épaules, flingueur ou pas flingueur je lui fracasserais le crâne sans aucun problème. " Alors s'il te plait, promets-moi que tu ne feras pas de conneries " C’était plus facile à dire qu’à faire je trouve, baissant enfin mon visage sur mon corps j’observais mes bleus alors que je me retournais regardant toujours mon amie dans le miroir, les deux que j’avais au niveau de mon visage était vraiment visible. Kennedy ne me pensait pas capable de me défendre face à ce genre de sale type, je ne pouvais pas lui en vouloir, je semblais fragile et frêle mais j’étais une véritable furie quand je le voulais. Je repensais à mon mari, lui aussi pensait que j’étais faible et fragile, lui aussi pensait que je ne serais pas capable de m’emparé d’un couteau et de lui planté plusieurs fois dans le corps. Il ne me pensait pas assez tordue pour le tué. C’était loupé. « T’inquiète pas pour moi. Flingueur ou pas flingueur ce sale type va croupir sous une dalle de béton, je peux te le jurer. » Ma voix était bien plus calme, tirant sur ma cigarette je l’écrasais dans mon cendrier juste à côté. Je soupirais longuement avant de tapoter mes ongles sur la coiffeuse. " Alors on essaye de faire la guerre à ses vilaines marques dans un premier temps ? " J’hochais la tête, il fallait que ça parte rapidement et que je ne vois plus rien sinon j’allais garder cette haine au fond de moi et je ne dormirais pas avant d’avoir assouvi cette soudaine vengeance. Ça peut paraître futile et exagéré comme comportement mais quand on a subit les coups de son père, les violences de son mari on peut comprendre ce besoin de détruire la gente masculine quand il y a ce genre de problème. « Hum… Prions pour que ça parte avant demain parce que ça n’excite pas les bleus… » C’était vrai, faire du striptease avec ce genre de bleu ce n’était pas vraiment le mieux, laissant Kennedy s’occupait de mes bleus j’étais perdue dans mes pensées avant que je ne regarde la jeune femme une nouvelle fois. « J’ai besoin d’un verre… On va au bar se prendre un whisky ? » La vérité c’est que de là ou se trouvait le bar je pourrais avoir un œil sur ma nouvelle proie, celui que je tuerais sans aucun mal. Mon visage était bien plus calme. Le calme avant la tempête surement.

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