AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

Partagez
 

 Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Invité
Invité


Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Empty
MessageSujet: Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*   Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Icon_minitimeSam 17 Déc - 16:26




Emerik-Tales && Bleuenn
In order to keep a true perspective of ones importance, everyone should have a dog that will worship him and a cat that will ignore him.

Adopteunmec.com, quel site extraordinaire, quelle idée de génie, surement celle d’une femme, c'était même certains. Quand même, pouvoir acheter un mec sur le net, c’est aussi jouissant que de boire un chocolat chaud alors qu’on meurt de froid ou de coucher avec deux Thor en puissance dans la même nuit, voir en même temps. Depuis qu’elle avait découvert ce site la jeune femme ne cessait de chercher de quoi faire « ses courses » , elle faisait des tonnes de recherches différentes, changeant les critères à chaque fois , réduisant la liste, au début ma foi un peu trop longue, à celle des dix finalistes encore en compétition. Certes, il y avait des chances pour que ce type soit en vérité un boutonneux de seize ans ayant mit la photo de son père jeune ou d’un cousin éloigné, voir une photo trouvé sur Google, pire encore, il était facile de cocher la case « musclé » alors qu’on peine à soulever un pot de confiture, sur internet tout était faux, tout était manipulable, pire que dans le monde réel. Cela dit, il y avait aussi des chances pour que finalement, tout soit vrai, qu’il soit son âme-sœur ou à défaut, un bon coup, ce qui serait déjà pas mal. Et puis, voir la photo d'un mec dans un cadi virtuel c'est tellement... orgasmique. Bref, aujourd’hui étant un jour de congé, la jeune femme avait décidé de se mette devant son ordinateur portable, assise en tailleur sur son lit , vêtue simplement d’une longue chemise blanche laissant transparaitre ses dessous, surement un vestige d’une quelconque passade (la chemise, pas les sous-vêtements , sinon on pourrait clairement se poser des questions) , et de longue chaussette mauve , après tout elle était seule dans son appartement et elle n’attendait personne, pour le moment. Affichant un sourire presque mesquin Bébé se mit à lancer sa recherche du jour, histoire de voir les nouveautés dans ce nouveau site si magique. Brun, plus d’un mètre quatre-vingt cinq, yeux bleu, musclé, intelo, cadre et sportif. Voilà les cases qu’elle cocha , l’air de rien, comme si elle s’apprêtait à acheter du lait ou du pain dans une quelconque supérette de quartier. Évidemment, les résultats furent plus que conséquent, affichant une bonne centaine de page, avec des photos, certaines un peu louche, d’autre puant le fake à trois cent mètre, il fallait savoir faire le tri et heureusement, Bleuenn était une experte.

Après plusieurs heures à parcourir tous ses résultats, mettant certains « bon candidat » dans ses favoris, histoire de revenir dessus plus tard, au sens propre comme au figuré, notre stripteaseuse décida de faire une pause, sautant de son lit pour aller fouiller son frigo, qui, comme d’habitude était plein, oui, toutes les filles qui vivent seule ne sont pas bordélique avec un frigo remplis de bouteille vide ou de nouille chinoise à moitié décédé. Cela dit, rien ne lui faisant envie pour l'instant, elle se contenta donc d'un verre de vin. Buvant une gorgée, elle se mit à regarder son appartement avec attention, les coudes posés sur son bar, se demandant s’il ne manquait pas quelque chose à son intérieur. Un peu plus de couleur ? Non, elle avait déjà pas mal d’objet coloré, peut-être un peu trop kitch parfois, mais elle aimait la gaité. Un peu plus de photo de sa famille ? Non, elle détestait que tout le monde puisse voir ses photos d’enfance dans son salon, c’était humiliant, surtout sachant qu’elle ressemblait à une espèce de thon mutant à l’époque. Un chien peut-être ? Ça ferait un peu de vie dans cette maison si vide… Non, trop chiant, il faut le sortir et puis ça coute cher. Un colocataire ! Voilà ce qui lui fallait ! Inutile de le sortir et ça ne coutait pas si cher que ça. Fort de cette illumination elle leva son verre à sa propre gloire, buvant une gorgée, avant de retourner devant son ordi, quel meilleur endroit qu’adopteunmec.com pour trouver son futur colocataire ? Ben quoi ? Autant lier l’utile à l’agréable non ? … Malheureusement, alors qu’elle s’apprêtait à partir à la conquête de son pc de nouveau quelqu’un frappa à la porte. Un voisin mécontent surement… Aucunement inquiète, ou même gênée par sa tenue, Bleuenn alla ouvrir la porte après avoir posé son verre non loin et là, hé bien autant dire que ce fut le choc, tout du moins la surprise.

Emerick-Tales Prescott, un politicien surement véreux mais surtout marié était devant sa porte, l'air de rien, la bouche en cœur, comme si tout était normal, alors que mine de rien, il n'était pas censé connaître son adresse. Vu de l'extérieur, il ressemblait un peu à un psychopathe qui venait traquer sa proie et qui s'apprêtait à la tuer sauvagement, espérons qu'il décide de la violer avant.... Ben oui, faut admettre qu'il était pas mal, il avait un certain charme et la dernière fois qu'ils s'étaient vus elle lui avait « offert » un striptease qui commençait sérieusement à déraper, mais elle avait surtout découvert qu’il était marié et même si elle avait peu de principe, ce taper un homme marié, tout en le sachant en tout cas, c’était hors de question. L'observant, l'air septique, elle lança. « Heu… Je vais passé outre le fait que tu ais trouvé mon adresse , je vais aussi oublié que tu frappe à ma porte alors que j'ai essayé subtilement de te faire comprendre que tu m'intéresse pas et je vais simplement te dire... Bonjour et au revoir… » Au moins c’était clair, net et précis. N’attendant aucune réponse elle commença à fermer la porte, secouant la tête, l'air blasé…


Revenir en haut Aller en bas
N. Samaël-Jox River
N. Samaël-Jox River

Messages : 98
Inscription : 14/12/2011
Job/Etudes : Officiellement lieutenant de police à la crim', officieusement flic ripoux baignant dans divers traffics.

Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Empty
MessageSujet: Re: Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*   Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Icon_minitimeLun 19 Déc - 16:21


ღ DON'T BE AFRAID, BE TERRIFIED ღ


S'il y avait une chose qu'avait appris à détester le Sénateur Prescott au long des années, c'était sans nul qu'il ne parvienne pas à ses fins. Depuis qu'il avait décidé de prendre son destin en mains et d'écarter qui que ce soit qui oserait se mettre en travers de son chemin, il avait toujours réussi son entreprise, souvent avec une habileté déconcertante. C'était comme ça, le nouvel Emerik était né de la haine et de la révolte, de l'assurance et de l'ambition. Tout en lui était désormais tourné vers ses objectifs aussi difficile à atteindre qu'ils ne pouvaient paraître. Pourtant il ne se laissait pas abattre. Son passé pouvait en témoigner. D'un simple enfant pauvre des bas quartiers de Seattle, il était devenu l'une des figures montantes de la politique, un homme capable de se faire aduler par les citoyens et aimer de ses compatriotes. Mais tout ceci avait un prix : son humanité. En effet, pour devenir cet illustre politicien, il avait dû laisser derrière lui une partie de son âme, son innocence, sa bonté qui n'apparaissait plus désormais qu'en apparence aux yeux des autres. Ah oui pour jouer la comédie il était fort. Cependant comme tout lion en cage il avait besoin de sortir de temps à autre ses griffes et de rugir à qui voulait bien l'entendre. Une sorte d'instinct bestial dont il était nécessaire d'accorder de plus en plus souvent de liberté. Ceci était sans doute dû à ses visites accrues à l'Aphrodite, manoir qui lui permettait un temps soit peu de se défouler, de laisser la noirceur de son âme vagabonder à son grès dans les draps soyeux et parfumés des prostituées qui se donnaient volontiers à lui.
Il faut dire aussi que sa gueule d'ange et son charisme naturel qui s'était développé avec l'âge, lui permettaient amplement d'avoir une multitude de faveurs, notamment au vu de la gente féminine. En société, un beau sourire et de douces paroles flatteuses lors de galas ou de réceptions entrainaient la soutient ou la signature de contrat de nombreuses femmes d'affaires.

Inutile donc de préciser ô combien il lui était désagréable de se voir refuser quelque chose, trop habitué à gagner du premier coup. D'autant plus que cela était plus que dangereux pour celui ou celle – en l'occurrence – qui n'allait pas dans son sens. Il avait déjà tué par le passé, s'était débarrassé de ses ennemis avec une redoutable efficacité et ce n'était donc pas une vulgaire strip-teaseuse qui allait l'empêcher d'obtenir son gain. Après l'avoir allumée, prête à se donner à lui dans ce salon privé, elle s'était finalement désistée en apprenant qu'il était marié. Depuis quand une femme comme elle avait des principes tels que la fidélité ? Il n'en fallait pas plus pour attiser le désir de victoire du politicien ; sans compter derechef sur le fait que ce jeu du chat et de la souris l'excitait comme jamais. Au moins avait-elle eu le don de réveiller la bête. C'est sans doute la raison pour laquelle il se retrouva devant chez elle, confortablement installé dans sa voiture de luxe à l'arrière, alors que son chauffeur lui faisait signe qu'il était arrivé à destination. Il n'avait emmené aucun garde du corps avec lui, préférant que cela reste un maximum discret pour sa propre sécurité d'ailleurs. « Merci Michael, attendez-moi là », dit-il alors à celui qui tenait le volant, glissant au passage dans sa poche de devant une petite liasse de billets, s'accordant ainsi implicitement sa coopération et son silence, avant de sortir du véhicule en reboutonnant son costume. Ce dernier était composé d'une blazer bleu-gris nuit, d'une cravate et d'un pantalon aux mêmes tons ainsi que d'une chemise au dégradé lavande. Il dégageait une classe incomparable, on ne pouvait lui enlever cela.

C'est après plusieurs minutes qu'il arriva enfin devant l'appartement de la jeune fille : Bleuenn S. McFaden, qu'elle s'appelait, bien qu'à l'Aphrodite on la nommait Bébé. Cela n'avait pas été difficile de trouver son véritable nom. Quand on a l'argent et la volonté, rien n'est impossible. Sonnant à la porte, il se retrouva rapidement nez à nez avec la demoiselle. Un sourire diabolique se dessina sur son visage lorsqu'il croisa son regard, conscient de ce qu'elle pouvait penser à cet instant. « Heu… Je vais passé outre le fait que tu ais trouvé mon adresse , je vais aussi oublié que tu frappe à ma porte alors que j'ai essayé subtilement de te faire comprendre que tu m'intéresse pas et je vais simplement te dire... Bonjour et au revoir… ». Il est certain qu'Emerik ne s'attendait pas à ce que Bleuenn lui saute dans les bras et le couvre de baisers, d'ailleurs ce genre de futilités ne l'intéressait nullement. Il voulait pouvoir sentir la rage qui sommeillait en lui, la prendre dans un lit, contre un mur ou à même le sol, tout ceci le lui était complètement égal. La seule chose qu'il savait c'était qu'il la voulait tout de suite, maintenant, sans aucune autre forme de négociations. C'est en oubliant ainsi le fait qu'il était marié et qu'il était une célébrité qu'il plaça rapidement un pied dans l'embrasure de la porte afin d'empêcher celle-ci de se fermer. Poussant la cloison pour entrer dans l'appartement, il la referma à clef derrière elle et reporta son attention sur la blondie, ce même regard et sourire en coin déjà victorieux. Observant l'appartement l'espace d'un moment, découvrant son nouveau terrain de jeu, il revient sur la jeune fille inquiète. Et après tout il y avait de quoi. « Ce n'est guère une façon de traiter ses invités Bébé, ou devrais-je plutôt dire … Bleuenn ». C'était la première fois qu'il utilisait son véritable prénom devant elle. Il s'avança à pas de loup vers sa victime, les mains dans les poches, avec une assurance terrifiante. La partie de chasse pouvait commencer.
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité


Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Empty
MessageSujet: Re: Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*   Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Icon_minitimeLun 19 Déc - 18:43




Emerik-Tales && Bleuenn
In order to keep a true perspective of ones importance, everyone should have a dog that will worship him and a cat that will ignore him.

Etrangement, lorsque Bleuenn vit cet homme, ce sénateur, devant sa porte, elle comprit bien vite qu’il ne partirait pas si facilement que cela. Il avait dut faire des efforts pour trouver son nom, puis son adresse, surement payer des gens pour obtenir ses informations normalement tenue secrète par l’Aphrodite, ce qui signifiait qu’il avait la réel volonté d’être ici, et connaissant un peu la réputation de l’animal, elle savait exactement à quoi s’attendre. Animal, c’était un terme qui lui allait bien d’ailleurs… Il jouait le sénateur puissant et charismatique devant les caméras, tenant fièrement la main de sa jolie épouse, en faisant des saluts à une foule endiablé, plus attiré par son joli minois que par ses stratégies politique. Après tout ça, comme si de rien n’était, il franchissait les portes de l’Aphrodite discrètement, se glissant dans les draps des prostitués, qu’il prenait d’ailleurs en général avec une certaine brutalité, ce qui était loin d’être une mauvaise chose aux yeux de notre blondinette, cela dit, il restait un homme marié. Bébé n’était pas une femme toujours très responsable, elle le savait, dans sa vie elle avait couché avec énormément d’homme marié ou simplement en couple, cela étant, elle ignorait réellement ses faits, du coup, ça l’a rendait moins coupable d’une certaine façon. C’est vrai qu’elle n’était pas du genre à avoir des remords cependant, allez savoir pourquoi, coucher avec un homme marié tout en le sachant faisait partie des dix choses qu’elle se refusait à faire, au même titre que « ne jamais manger chinois » ou encore « Ne jamais porter du rose fluo ». Il était donc hors de question qu’elle couche avec ce type, peu importe ses « qualités ». Malheureusement, lui ne semblait pas vraiment prêter un quelconque intérêt à son opinion, pour preuve, il l’empêcha de fermer la porte, s’immisçant chez elle comme si de rien n’était, un sourire presque mesquin sur le visage, ce qui ne présageait rien de vraiment bon. Les bras croisés, la belle décida de s’asseoir sur le recoins d’une petite commode non loin, observant son invité, ni effrayé, ni réellement inquiète, presque blasé par un tel comportement. « Je t’ai pas invité, alors si t’es pas content, rien ne t’empêche de sortir… Et d’ailleurs, c’est ce que tu devrais faire… » Elle ne fit aucune remarque sur le fait qu’il connaissait son vrai prénom, si il l’avait trouvé c’était logique mais ça n’avait pas grande importance, Bleuenn, ou Bébé, elle avait toujours porté ses deux pseudonymes sans réelle différence, elle avait simplement prit le plus accrocheur comme nom de scène.

Bien sur, Bleuenn savait qu’il ne partirait pas malgré ses mots, il se rapprocha même d’elle, avec une assurance déconcertante, malgré ça, elle ne le quitta pas des yeux, toujours les bras croisés, assise sur le recoin de cette commode. Elle savait qu’il n’était surement pas là pour jouer au scrabble, elle le ressentait, il puait le sexe à plein née, il ressemblait presque à un chien en rûte, avide de pouvoir sauter sur n'importe qui, sans se soucier du comment du pourquoi. Elle le sentait et tout le monde en aurait fait autant. Par contre, ce qu'elle ne savait pas vraiment, c'était comment réagir face à lui. Résister, serait lui offrir ce qu’il veut. Ne pas résister serait lui offrir ce qu’il veut aussi. Dans les deux cas elle était perdante, ce qui pouvait être un peu frustrant, beaucoup même. Avoir un plan aurait surement été la meilleur des options, cela dit, l’improvisation avait toujours été l’un des talents premiers de la jeune stripteaseuse, alors autant en profiter. « Et maintenant? Tu crois faire quoi exactement?…. Je suis censé être effrayé et supplier ta clémence?…. Me mettre à genoux en te demandant de pas me faire trop mal monsieur le sénateur? » La belle laissa échapper un soupire, secouant la tête, toujours las de cette histoire. « Je te laisse cinq seconde pour t’en aller… Après ça non seulement je vais devoir arranger ton jolie minois à ma façon mais en plus y’a de forte change pour que mes cris, ou plutôt les tiens, atteignent la plupart de mes voisins qui débouleront ici et t’a réputation risque d’en prendre un sacré coup… » Bébé lui fit un sourire faussement polis, se dirigeant vers la petite table sur laquelle elle avait posé son verre de vin quelques minutes auparavant, verre qu’elle attrapa avant d'en boire une gorgée tout en tournant le dos à cet intrus, comme pour lui faire comprendre qu’elle n’avait aucunement peur, qu’il ne lui faisait aucun effet, hormis provoquer en elle une certaine indifférence. C’est vrai, c’était embêtant de ne pas savoir quelle stratégie employer pour le faire tomber de son piédestal, mais tant pis, elle ne comptait pas lui donner le plaisir de ses cris de terreurs ou celui de ses larmes emplis de frayeur, non, Bleuenn allait agir comme toujours, avec détermination, spontanéité et une pointe de brutalité non dissimulé. Restait à savoir quand il allait comprendre que des deux, ce n'était peut-être pas Bleuenn la proie...
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Empty
MessageSujet: Re: Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*   Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette* Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Are you a serial killer ? # feat D. Emerik-Tales Prescott *le fouette*

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» « Tell me why you leave me... » feat. Kaylinn ♥.
» « Que disent-elles ? Les autres, je veux dire.» |R. Emerik|

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
✩ DECADENCE HYSTERIA v.1 :: Archives RP-