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 june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]

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MessageSujet: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeMar 6 Déc - 20:40





And when I touch you
I feel animal inside.

Malgré l'argent amassé (pots-de-vin et payes d'avocat), Vitaly n'avait pas investi dans l'immobilier. Bien au contraire. Il avait préféré réduire cet aspect-là pour mieux dissimuler tout ce dont il possédait. Son appartement avait beau être spacieux, il ne démontrait pas le moins du monde le potentiel de son compte en banque. Son seul pêché mignon fut de le situer dans un quartier sûr, et à proximité de l'Aphrodite. Il possédait d'autres logements provisoires, répartis dans la ville sous des pseudonymes différents mais il n'avait pas eu encore le besoin de se déplacer ou de les utiliser. La prudence était sa carte favorite — qu'exceptionnellement, il endommageait pour aujourd'hui. Depuis sa première rencontre avec "Diablo", son existence avait basculé vers quelque chose de plus vicieux : salace, vulgaire, indécent. Jusque-là, il avait presque fait office de bon samaritain. Ne débauchant qu'à peine des avocates mignonnes, ne s'étendant dans une relation qu'une poignée de semaines/mois en adoptant un masque convenable. On le présentait aux familles, on l'intégrait dans des cercles d'amis : c'était étrange d'être ainsi entraîné dans des rouages qu'il n'aimait pas le moins du monde. Ses déviances réclamaient à vivre : il découvrit et baisa Diablo, à l'Aphrodite, vraie/fausse maison close dont il devint progressivement un client quotidien. Là encore, il avait réussi à dissimuler ses visites, et ne s'autorisa à fréquenter que la brune durant ces nombreuses semaines.

Partenaire sexuelle à même de l'encaisser, littéralement, il ne tarda pas à enquêter sur la jeune femme : obtenant son identité. S'escrimant à la placer toujours un peu plus sous son joug. Rebelle dans l'âme, elle ne se laissait manipuler qu'après un acharnement brutal. Leurs séances particulières octroyaient parfois aux pupilles de la belle une teinte trouble tant il communiquait de la douleur à son pauvre corps, lui donnant envie à la fois de hurler et de pleurer sous le traitement salace qu'elle subissait. L'argent la faisait taire. Vitaly payait bien, mieux que n'importe quel autre client, n'hésitant pas à sortir toujours plus de billets pour s'assurer de son silence et de sa docilité. Quelques heurts apparaissaient, bien sûr, parfois. June refusant de jouer l'esclave servile. Alors la violence de Vitaly s'élevait, les gifles contre ses formes, tirant les cheveux de la lolita ou s'employant à l'étrangler un bref instant. Il rétablissait l'équilibre instauré. Il agissait comme un homme incontrôlable. Cela pouvait se traduire par des minutes de tendresse, à se contenter de lui faire du bien dans les draps au milieu de la nuit : puis au réveil, simplement son corps contre le sien, ne s'inquiétant pas du fait qu'elle était alanguie par le sommeil. La pénétrant et faisant taire ses protestations dans des baisers acerbes. C'était là l'essence même de leur relation. Passion, coîts, plaintes, des bassins s'entrechoquant — June n'avait pas cessé de lui offrir son corps, et il se payait ses services. Encore et toujours.

Osant même, il y a peu, mettre le prix pour que les rôles s'inversent : qu'elle vienne à lui plutôt que ce soit l'inverse. Une prostituée ne commet de coutume pas ce genre d'excès mais il l'avait assez travaillé dans ce sens-là, et miroitait de l'argent à même d'entraîner ses fesses à quitter les couloirs du bordel pour venir à son appartement. Vitaly ne fixa pas d'heures précises, réclamant juste sa présence durant une après-midi — pouvant s'étaler sur la nuit, matinée. Ce genre de "détails'-là pouvait aisément être flexible. Il précisa son désir concernant sa tenue vestimentaire (qu'elle soit des plus sexuelles) et en vint même à prévoir l'achat de quelques habits féminins tant il craignait de pouvoir commettre un accès de rage qui détruirait l'un des tissus dont elle serait vêtue à son arrivée. Vitaly avait conscience de transformer la satisfaction d'avoir une poupée à ses ordres en obsession, qu'il y consacrait son argent et son temps d'une manière trop conséquente. Mais c'était selon lui de l'ordre de l'obligation, de la nécessité tant ses pulsions avaient besoin d'être régulièrement assouvies.

Il avait revêtu des habits presque basiques, souhaitant ne pas voir en tout cela la consécration de ces longues semaines à la faire basculer à son tour dans une étrange relation. Sirotant de la vodka, fumant clope sur clope, il attendit dans son appartement dont l'aménagement n'avait pas eu à subir beaucoup de changements pour accueillir cette nouvelle hôte. Il ne cachait pas de pièces secrètes où il allait pouvoir s'adonner à la molester mais possédait quelques paires de menottes et d'autres éléments à même de la placer dans des postures désobligeantes. Mais bandantes. Il n'avait pas une vue sur la rue, se contentant de patienter en ressentant progressivement une chaleur subversive se libérer en lui. Et cela ne put être que davantage renforcé lorsque l'on sonna à l'interphone et que de sa voix la plus froide il déclara : « Monte. » Il n'eut guère à attendre davantage pour pouvoir côtoyer visuellement la silhouette de June, la faisant pénétrer à l'intérieur de son appartement avec un simple mouvement de la tête. Tant qu'il n'était pas sûr de la savoir hors des regards, Vitaly s'avérait être des plus charmants.

« Installe-toi. Quel genre d'alcool préfères-tu? »

La question impliquait forcément déjà qu'elle en désirait, à quand bien même ce n'était pas là son souhait le plus cher actuellement. Elle évoluait dans un terrain non familier, avec un individu qui versait du côté poli au côté sombre en une moitié de seconde : rien ne pouvait plus l'inquiéter que de savoir son sort durant les prochaines heures. Il avait indiqué d'une main un canapé, dans le salon de son appartement, et il confia aux mains de la prostituée le verre plus ou moins désiré.

« Je te ferais visiter l'appartement lorsque tu seras nue, profite pour le moment de posséder un tant soi peu de liberté. »

Il se plaça à côté d'elle, sur le canapé, en appréciant son statut trouble : en aiguisant le tempérament de June pour la voir prendre ses marques. Se métamorphoser en la nymphomane qu'il aimait tant, vulgaire et insatiable. Vitaly avait déjà disposé sur la table basse de la "prime" quant à sa présence en ces lieux, lui rappelant continuellement sa condition de pute personnelle qu'il chérissait tant. Tacitement, il l'invitait du regard à se mettre à l'aise : à perdre déjà une couche d'habits. La voir chez lui était si étrange, et il fantasmait déjà sur ce qu'il allait pouvoir lui faire entre les murs de son logement.



Dernière édition par D. Vitaly-lloyd Burcley le Sam 17 Déc - 19:59, édité 1 fois
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A. Pippa-Everly Jackson
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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeMer 7 Déc - 19:04


ღ PLEASURE IN PAIN & VIOLENCE ღ

« Tu sais que tu peux toujours refuser si tu le souhaites ? », demanda Sevastien d'un air protecteur à la jeune fille. Tentant de masquer l'inquiétude en elle, June lui répondit avec un faux sourire : « Non ça va aller, après tout ce n'est que pour une journée et il a su y mettre le prix ». Elle aurait voulu croire à ses paroles, se dire que tout irait bien mais elle savait pertinemment que ça ne serait pas le cas. Depuis sa rencontre avec lui, sa première venue à l'Aphrodite, tout était allé de surprise en surprise. Elle qui l'avait vu comme un joli garçon aux traits angéliques, elle avait finalement dû assister à ce changement si soudain ; son rêve devenant finalement un véritable cauchemar. « Dans ce cas … fais attention à toi », lui dit-il en souriant. June afficha en retour un petit rictus en guise d’acquiescement afin de dissimuler la peur qui l'habitait. Elle ne voulait pas que Sevastien sache. D'une part parce que Vitaly achetait son silence mais surtout parce qu'il avait su la convaincre de ne dire mots de leur relation. Les stigmates qu'elle avait l'habitude d'arborer après leurs ébats en disant long sur ce qu'il pouvait se passer dans la chambre durant ces quelques heures. Souvent difficile, elle parvenait néanmoins à y faire face, y trouvant même parfois un plaisir des plus obscène. Mais là de savoir que Vitaly l'aurait pour lui tout seul durant près d'une journée avait le don de faire trembler la jeune fille. Personne ne serait là pour la défendre en cas de dérapages. Elle aura beau crier, s'égosiller pour qu'il stoppe ses quelconques gestes à son encontre, personne ne l'entendra. Elle sera seule avec lui, seule contre lui.

La demoiselle se prépara donc à partir, s'habillant de la manière la plus sexy qu'elle connaissait, selon le bon plaisir de son client attitré. Elle avait donc revêtue une lingerie d'un noir simple mais terriblement efficace, agrémenté de portes jarretelles qui m'étaient si bien en valeur son jeune corps frêle. Ainsi, elle ressemblait bien plus à une femme fatale qu'à une fille de seulement 19 ans. Le tout serait recouvert d'un manteau dissimulant ses formes afin de passer inaperçu.
Ce n'était que le début d'après-midi lorsque June s'inséra dans l'une des voitures que détenait le Manoir pour la conduire aux rendez-vous. Le trajet fut silencieux, seul le regard du chauffeur dans le rétro du véhicule, probablement excité parce qu'il avait sur son siège arrière, venait briser la froideur du temps. En parlant de temps, celui-ci fut relativement court, si bien que June se retrouva comme propulsée devant l'immeuble de Vitaly sans vraiment s'en être rendu compte. Un coup d'accélérateur et son dernier bouclier disparaissait au loin, laissant à présent la pauvre enfant au service des pulsions malsaines de cet homme. En retrait, la brunette appuya sur la sonnette d'entrée, ses mains tremblant à ce simple geste. Puis elle entra dans ces lieux avant de prendre l'ascenseur pour parvenir enfin dans l'entre du diable. Lorsqu'il ouvra la porte, la prostituée avala sa salive, comme pour se donner du courage et posa enfin un pied dans le hall d'entrée. Elle fit rapidement un tour de la pièce, observant tout ce qui pouvait lui donner un indice sur ce qu'il s'apprêtait à lui faire. Elle ne trouva cependant rien. Il faut savoir que Vitaly pouvait être un véritable gentleman quand il le voulait, jouant de son physique et de charisme abondant. Mais d'un autre côté sa gueule d'ange pouvait devenir un véritable piège, se changeant en un démon dont même un psychiatre n'aurait pu en comprendre les raisons. Elle ignorait pourquoi il agissait de la sorte, toutefois la peur qui se lisait dans ces yeux à ce moment là elle était bien présente. June n'avait pas vraiment de problème avec le sexe dit « bestial ». La protégée de Sevastien avait de quoi faire avec Zak ou d'autres clients. Néanmoins avec Vitaly c'était quelque chose de bien plus brute, de plus … violent. Dominant la quasi totalité du temps, June devait se soumettre à bien des sévices sur sa personne, consentante ou non. Cela pouvait aller de la simple gifle, aux coups répétés, aux morsures voir à la strangulation. Et si cette dernière osait se débattre, elle ne gagnait qu'en retour d'être ligotée, bâillonnée et/ou violer sans ne pouvoir rien faire. Elle n'était que sa poupée, son jouet qu'il pouvait disposer comme bon lui semble. « Installe-toi. Quel genre d'alcool préfères-tu? ». Obéissante, elle alla se placer sur le fauteuil qu'il venait de lui indiquer, sentant les battements de son cœur résonner dans sa poitrine à mesure qu'elle avançait. Ne pas savoir ce qui allait lui arriver était une forme de torture psychologique à laquelle apparemment l'avocat s'adonnait régulièrement. Elle attrapa le verre tendu par Vitaly, composé de sa commande et hésita un instant avant de le porter à ses lèvres. « Je te ferais visiter l'appartement lorsque tu seras nue, profite pour le moment de posséder un tant soi peu de liberté. ». S'abreuvant d'une gorgée de l'alcool en question, June respira profondément suite aux paroles de son employeur. Celui-ci prenait déjà sa position de dominant vis à vis d'elle, remarquant au passage les liasses de billets posées sur la table basse du salon. Elle avait toujours du mal à comprendre comment Vitaly était prêt à dépenser autant pour elle. Car oui à ses yeux elle était sa favorite, sa propriété et ne venait à l'Aphrodite que pour elle alors que bien d'autres prostituées, plus expérimentées, auraient pu le satisfaire dans ses envies SM. « Tu as du goût ... », laissa-t-elle échappée en dévisageant chaque recoin de la pièce, histoire de briser ce silence qui l'oppressait. Elle n'avait pas l'habitude d'être dans un tel luxe bien qu'il semblait que ce dernier ne soit pas du genre - au vu de la décoration - à étaler sa richesse aux yeux de tous. D'un geste légèrement tremblant mais qui se voulait contrôlé, June se libéra de son manteau pour laisser apparaître aux yeux pervers de son bourreau, sa jeune chère terrifiée.


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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeMer 7 Déc - 20:54





And when I touch you
I feel animal inside.

Il hésitait toujours sur le traitement à lui apporter/infliger. Tantôt, comme un bras de l'enfer, il s'abattait sur elle : tordant son corps et sa jolie bouche en des agressions si abruptes. Et d'autres occasions offraient presque le sentiment qu'il n'était qu'un client "banal", lui faisant l'amour et s'en allant avec une considération qu'il n'avait pas de coutume. Cela ne pouvait qu'offrir à June une constante indécision sur ce qu'il incarnait. Il jouait là-dessus. Il étudiait le comportement de la prostituée. Remarquant qu'elle ne cessait, à son tour, de se transformer, n'avouant peu à peu à personne ce qu'ils commettaient tant elle se verra obligée d'indiquer certains éléments qu'elle aimait. Une fois que Vitaly l'avait tout contre lui, peu importait la position, l'angle à laquelle il s'exaltait à la pénétrer, il ressentait qu'elle prenait son pied. Et dans le plaisir, et dans la douleur. Lui avouerait-il un jour le versant jusque-là dissimulé de ce qu'il pouvait éprouver à son égard? Vitaly le ferait bien s'il avait déjà davantage d'idées à ce sujet, et il ressentait encore trop de liens autour de June l'empêchant d'être sienne à lui et à lui seulement. Il lui confia un verre, se délecta de la voir inquiète, transie d'appréhension. Au bordel, il ne se gênait pas de la défoncer : sans témoin, sans protection, il pouvait commettre à son égard des sévices si cruelles. Peut être même avait-il une pièce à cet usage précis. Des chaînes, un fouet, un caméscope pour enregistrer son martyr — des pinces pour le sommet de ses seins, des tenues en cuir à lui faire essayer. Au lieu de cela, elle se retrouvait à siroter de l'alcool, pendue aux souhaits de l'avocat : tanguant entre la peur et l'impatience. Vitaly s'était allumé une Lucky Strike, se délectant du minois de June. Elle chercha à rompre en partie le silence, si peu commun entre eux : lui émettant des râles, elle des gémissements le plus souvent. Elle osa appeler l'animal, offrant au regard du jeune homme la pâleur de sa peau. Son corps n'ayant de dissimuler que les zones érogènes avec une lingerie des plus sensuelles. Il en déplaça sa mâchoire, plus ou moins imperceptiblement, avant de placer sa cigarette au bord de ses lèvres et de se lever. Chacun de ses actes devenait une menace mais il présenta une main à la brune qui s'avérait bien chaleureuse, bien désireuse de la faire se relever — si vite, oui, déjà du fauteuil où elle était installée.

« Laisse-moi t'en montrer davantage avant d'exprimer ton opinion. » Son sourire en coin n'avait rien de rassurant mais il sentit les doigts de la jeune femme en venir à accepter les siens. En sous-vêtements, debout, elle se retrouva plaquée contre le corps de Vitaly. Plus grand qu'elle, il ne l'entraîna qu'à peine à relever son menton pour être la victime d'un baiser — langoureux et désinvolte à la fois. Les quelques instants de tendresse que distillait Vitaly n'avaient souvent que pour buts d'offrir une fracture encore plus grande à la violence qu'il laissait se déchaîner : mais il appréciait les pulpeuses lèvres de la catin, ne mordant pas cette fois-ci cette bouche onctueuse. Il l'entraîna, la tenant toujours d'une façon ou d'une autre, à l'accompagner dans l'appartement. La portée d'entrée communiquait presque immédiatement sur le salon où il l'avait laissé s'angoisser une brève minute. Meubles simples, quelques tableaux, des couleurs peu agressives pour les yeux : la fenêtre offrait une vue du quartier de Seattle, permettant un panorama rassurant. Il la guida jusqu'à un couloir dont la série de portes pouvait créer des frissons. Derrière chacune, il n'y avait pourtant que des pièces « saines ». Vitaly n'offrit pas une visite fournie avec des commentaires : en réalité, il l'entraîna juste dans le couloir et lui laissa tout juste apercevoir à un moment, à sa gauche, une salle de bain à la couleur bleutée apaisante, une salle faisant office de bibliothèque, une autre encore hébergeant une cuisine des plus simples. Il la plaqua contre un mur de ce même couloir alors qu'à moins d'un mètre de là attendait la chambre dont ils allaient écumer durant plus d'une heure l'atmosphère. « Ton rythme cardiaque est inquiétant.. Tu veux peut être retourner au manoir, retrouver la sécurité de ses murs. »

Le visage tout contre celui de June, il passa un doigt entre le tissu de son sous-vêtement et de la peau laiteuse qui ornait son corps. Juste en dessous du nombril, juste au dessus du sexe. Il avait appris, avec le temps, que les gifles sur son corps créaient chez elle des frissons tout comme des caresses enfantines à des endroits précis. A l'Aphrodite, à quand bien elle possédait des ennemies féminines, elle pouvait compter sur plus d'une personne si les choses s'envenimaient avec Vitaly. Il ne savait pas jusqu'à point elle avait respecté le serment de silence mais les bleus qu'il avait pu lui laissé sur son corps étaient à eux-seuls des preuves suffisantes qu'ils ne baisaient pas calmement. Il lui fit écarter un peu plus les jambes, appréciant le souffle chaud de June qui ne savait où se déposer : la main du jeune homme s'insinua plus ardemment entre ses cuisses. Du doigt d'honneur, il aguicha la corolle dont elle était la détentrice : s'évertuant progressivement à faire habitant de son corps. Mais déjà, il ramenait sa main sur la poitrine de la jeune femme : il l'allumait sans s'intéresser davantage de son désir d'en avoir davantage. L'affamant pour mieux la sentir brûlante une fois l'acte sexuel entamé. Sans la toucher davantage, il s'écarta d'elle et lui fit signe d'entrer dans une certaine pièce. Sa piaule. Au lit conséquent, au bureau dans le coin de la pièce avec quelques feuilles présentes dessus. Une fenêtre communiquant sur un autre vision du quartier.

Il laissa June s'approprier visuellement de la pièce, mais lorsqu'elle se retourna vers lui il n'eut qu'à émettre une légère pression pour l'envoyer tomber sur le lit. Rebondissant dessus, une fois, puis deux, avant que le corps ne se pose au-dessus du sien. « Essaie de ne pas gémir » souffla-t-il, commençant à éparpiller des baisers de plus en plus pressants au cou de la jeune femme. Sur sa poitrine encore cachée, errant sur une hanche, faisant une escale sur son ventre : l'apparence la plus charmante de Vitaly s'égarait en délicatesse. Jusqu'à ce que d'une main, il retire la petite culotte dissimulant l'intimité de la jeune femme et que ses dents en viennent à riper tout contre, que sa langue en vienne à traîner tout contre son vagina. S'immisçant à l'intérieur. Il tint les cuisses de la jeune femme, fermement, ne lui laissant pas l'occasion de se dédouaner du cunni' violent qu'il lui dédicaçait entre les reins. Il se délectait d'elle, des frissons qui émanaient de son bassin et se propageaient au reste de son corps. Il partait avec l'avantage de connaître déjà plus d'une faiblesse, plus d'une partie sensible de la jeune femme. Il insista vicieusement. S'accordant plus d'une minute à faire monter la température corporelle de June. Embrassant l'intérieur de ses cuisses, descendant et remontant, avec la ferme intention de laisser à son esprit un souvenir indélébile de tout ce qu'ils allaient commettre. Accumulant intérieurement l'envie sévère et impatiente de la posséder jusqu'à l'entendre peut être supplier d'arrêter d'être si impitoyable. Il laissa parfois son simple souffle comme perturbateur de son entre-jambes, ayant un regard des plus salaces à l'égard de June qui ne pouvait que se laisser ainsi abuser. Ayant été payée pour ça. Il laissa cette phase se conclure par une transition scabreuse : s'emparant d'une main de la prostituée, l'embrassant. Et guidant celle-ci sur le sexe féminin, l'utilisant à des fins de plus en plus perverses. Automatisant la belle à commettre l'acte solitaire alors même que son client usait également de ses doigts pour la satisfaire aussi. Étant remonté et embrassant les lèvres sucrées de June.



Dernière édition par D. Vitaly-lloyd Burcley le Sam 17 Déc - 20:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeJeu 8 Déc - 15:44


ღ PLEASURE IN PAIN & VIOLENCE ღ

L'idée même de se savoir au merci de ce sadique imprévisible rendait hésitant le moindre de ses gestes. Elle ne savait ni où regarder ni quoi faire ou dire. Jamais aucun homme, aucun de ses clients ne l'avaient mise dans un tel embarras. Lui seul parvenait à la faire fléchir de la sorte, chose dont elle avait à la fois horreur et envie. Et Vitaly le savait. Il aimait la déstabiliser ainsi, prenant son rôle de dominant à cœur pour le plus grand malheur de sa poupée favorite. Très vite à chaque fois et ce de la manière la plus imprévue qu'il soit, ce dernier lui rappelait ce qu'elle était : une pute, tout simplement. Une femme au service de son anatomie, devant combler avec son consentement ou non, les plus noirs désirs de l'avocat. Sa soumission devait être totale bien que June luttait encore tant bien que mal lors de certaines situations. C'était notamment le cas lorsqu'il tentait de l'étrangler, de l'attacher et/ou de lu imposer sa virilité à sa bouche. Le pire c'est que cela excitait encore plus ce monstre qui arrivait avec une facilité déconcertante à maintenir sous son joug sa victime. Car oui, bien qu'à certains moments June pouvait y trouver du plaisir, souvent on ne lui demandait pas son avis. Normal me direz-vous ? C'est une prostituée après tout. Certes, mais c'était avant tout une femme, un être humain et non pas un animal voir un jouet plutôt qui devait assister impuissante au viol de son propre corps, viande fraîche utilisée pour le bon plaisir des riches portes-monnaies. Vitaly en faisait parti. En agissant ainsi il lui volait sa dignité, son caractère ; tout ce qui faisait de June la jeune fille qu'elle était avant chaque séance à ses côtés. Une fois avec lui elle n'avait plus d'autres choix que de subir sa perversité souvent poussée à l'extrême. Vous dire qu'elle avait peur de lui serait un doux euphémisme tant sa nature même pouvait lui glacer le sang. Bien que luttant, il lui arrivait aussi de ne trouver mots face à ses actes, comme tétanisée par la violence et le plaisir qu'elle pouvait ressentir dans ces moments. Elle s'en voulait d'ailleurs parfois d'y trouver de l'extase, bien que cela lui permettait au moins de tenir plus facilement le coup lors de leurs ébats outrageux.

Lorsque Vitaly alluma sa cigarette, June eut l'irrésistible envie de la lui arracher de la bouche pour en tirant une grande latte, histoire de faire redescendre sa pression sanguine. Fumeuse invétérée depuis plusieurs années à présent, la nicotine de ses saloperies était devenue un besoin nécessaire pour sa survie. Ironique n'est-ce pas ? Et quand son client se leva, celle-ci ne put s'empêcher d'émettre un sursaut imperceptible, inquiète de son prochain geste. Mais elle fut surprise quand son bourreau vînt lui tendre la main, la poussant à le suivre. « Laisse-moi t'en montrer davantage avant d'exprimer ton opinion. ». Hésitante l'espace de quelques secondes, elle attrapa finalement son invitation, silencieuse et se préparant psychologiquement à un éventuel changement d'humeur du fauve. Radicalement, elle se retrouva collée contre sont torse, en proie à ses premières craintes avant que finalement Vitaly ne vienne que déposer un doux et audacieux baiser sur ses lèvres. Elle savoura cette tendresse présente, sachant pertinemment que cela n'allait durait qu'un temps. Ce n'était qu'une question de minutes avant que la face angélique de l'homme d'affaires ne se transforme en une parfaite représentation du diable en personne. Lucifer à côté semblait moins cruel.

S'en suivit ensuite la visite partielle de son appartement, apercevant en partie les diverses pièces des lieux avant de, sans crier gare, se faire plaquer contrer l'une des cloisons du couloir où ils se trouvaient. Les yeux de la demoiselle se remplir à nouveau d'une peur sans nom, anxieuse et tremblantes face à ses futurs sévices corporelles. « Ton rythme cardiaque est inquiétant.. Tu veux peut être retourner au manoir, retrouver la sécurité de ses murs. » . Les battements de son coeur redoublaient en effet d'effort au fur et à mesure qu'il s'approchait d'elle. Cherchant dans le regard de Vitaly une quelconque solution ou réponse à sa situation, June ravala sa salive pour finalement répondre d'une voix apeurée mais qui se voulait convaincante : « Non … je n'ai besoin de personne pour me défendre ». Bien sûr, elle ne croyait nullement à ses paroles. C'est tétanisée qu'elle laissa son assaillant glisser sa main dans le tissu en dentelle qui faisait barrière entre son intimité et les idées malsaines de cet homme. D'un geste radical il la poussa à écarter davantage les jambes afin que ce dernier puisse immiscer avec force ses doigts dans son antre. Ouvrant la bouche sans émettre aucun son sous le coup de ce toucher ardant, June sentit les caprices de son corps monter en elle. Un délice pour son vagin qui se délectait de son initiative. Mais à peine eut-elle le temps d'apprécier que déjà Vitaly se retirait et l'obligeait à le suivre dans ce qui semblait être sa chambre. Entrée dans la pièce, elle sentit la force de son « maître » la pousser violemment sur le lit, ne pouvant lutter au vu de son corps si frêle. Sans même avoir le temps de se remettre de sa chute, l'avocat vînt se placer au dessus d'elle, son visage n'étant plus qu'à quelques centimètres de celui de la prostituée. « Essaie de ne pas gémir » , lui dit-il alors qu'il commençait déjà à parsemer son cou de baisers dévorants. Sans dire mot, June s'exécuta ou tout du moins tentant de respecter ses ordres. En effet, à mesure qu'il couvrait l'intégralité de son corps de ses lèvres fines, celle-ci se mordillait la lèvre inférieure pour ne pas émettre un quelconque bruit de plaisir. Et lorsqu'il retira avec hargne la dernière muraille qui emprisonnait l'objet de toutes ses convoitises, l'ordre à suivre fut d'autant plus difficile. Les cuisses retenues fermement par Vitaly, elle ne pouvait se dégager de son emprise à mesure que ce dernier utilisait sa langue comme une arme redoutable. Se tortillant légèrement sous l'effet de la jouissance, June ne pouvait qu'accepter son sort. Dans cette minute d'égarement intense, abusée par un homme qui faisait d'elle ce que bon lui semblait, elle sentit finalement la main de Vitaly rencontrer la sienne. Il lui déposa un doux baiser et l'entraina sans comprendre vers son intimité ; l'invitant à jouir de son propre joyaux avec une salacité sans borne puisque le jeune homme poursuivait son doigté affiné tout en venant frôler ses lèvres avec avidité. La fantaisie et l'euphorie du moment était une pure lubricité partagée. La question était de savoir jusqu'à quand cela allait durer.


Dernière édition par T. June-Aspen Blackwell le Dim 1 Avr - 21:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeJeu 8 Déc - 23:36





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Il n'avait pas prémédité ce qu'il ferait à June, durant des heures, chez lui. C'était d'une certaine manière elle qui entraînait les phases, commettant des erreurs ou des actes qui poussaient Vitaly à redoubler d'ardeur ou à la laisser quelques instants vibrante de désirs. L'alternance était là une clé qu'il ne possédait pas toujours. Son sang froid, au tribunal, n'existait plus dès lors que le corps de la prostituée entrait dans l'équation. La culbuter, la sauter, la tirer, la défoncer — voilà ce qui s'injectait dans ses pensées avec une frénésie éprouvante. Il aurait pu la baiser devant l'entrée de son appartement : la plaçant contre une porte ou un mur, lui à peine déshabillé, faisant cela debout. Avec précipitation. Au lieu de cela, il était parvenu à attendre jusqu'au couloir de la piaule : ressentant déjà la morsure de l'envie, expatriant alors ses doigts tout contre l'intimité de la jeune femme. Jusqu'à la souiller une fois qu'elle fut contrainte de se coucher, observant de temps à autre le minois de son esclave au bord de la satisfaction. L'avocat n'avait encore rien perdu de ses vêtements. Et June ne risquait pas d'émettre un quelconque geste là-dessus, trop renfermée encore dans sa peur pour oser une initiative. Vitaly appréciait son inaction ; et ne la tolérait pas à la fois. Le paradoxe confus de ses sentiments entraînait souvent comme réponse : violence.

Il s'empara de la main de June, la pressant à se toucher avec une insistance plus conséquente. Le soutien-gorge descendit d'un cran, dévoilant le sommet de ses seins : il en tordit un, lentement, en le roulant entre son pouce et son index, ne manquant pas de laisser ses yeux se perdre dans ceux de la prostituée pour voir passer les lueurs de la souffrance et de la joie. June n'avouerait jamais au combien elle aimait sa place, son rang. Si dégradant à bien des égards mais synonyme également d'un intérêt prononcé à ce qu'elle était, physiquement, et qui en venait même peu à peu à transiter sur sa vraie personnalité. Vitaly avait l'audace de croire qu'elle n'aurait pas pris la décision de l'Aphrodite pour un autre client que lui. Il s'empara de la lèvre inférieure de la jeune femme, se délectant de la sentir tremblante. Elle ne pouvait qu'à peine bloquer certains sons de sa gorge. Son ventre arborait des mouvements ondulatoires. Tout deux savaient qu'ils conservaient le silence autant par crainte de ne plus pouvoir profiter l'un de l'autre ainsi, mais aussi simplement car cela relevait progressivement de leur histoire. Aussi malsaine puisse-t-elle être, avec son début chaotique, ses chapitres allant du blow-job effréné à la baise par derrière après l'avoir menotté au montant d'un lit, il y avait une logique qui leur était propre. Vitaly agissait comme un fin stratège, sachant quels mots pouvaient l'inquiéter : quels coups de reins la faire gémir. De son doigt d'honneur, il commença l'acte indécent de la masturbation, surprenant alors les expressions de gêne et de relâchement sur le minois de la catin. Elle va beau déclarer qu'elle n'avait besoin de personne pour se défendre, elle brûlait d'envie lui semblait-il de se faire dicter sa conduite et ses actes. Il entraîna donc l'une des mains féminines dans son jean, puis son boxer. Aimant la sensation des doigts encore si timides à l'assaut de ce qui se mettait parfois si profondément en elle. « Ferme les yeux. » Et comme pour mieux la voir obtempérer, il passa une main sur le visage de June : la forçant à clore ses paupières. Cela n'annonçait rien de bon. Si déjà, en regardant Vitaly continuellement, elle ne pouvait pas déterminer ses actes : sans la vue, elle était condamnée à tout ce qui était humainement possible. L'avocat termina de lui retirer son soutien-gorge, accordant encore une poignée de secondes plus ou moins tendres à l'égard de sa poitrine plus opulente que de coutume. Le léger bruit d'une ceinture qui se défait en vint à retentir : Vitaly savait cependant cultiver le suspens.

Et les retournements de situation. Alors que son souffle chaud stationnait à certaines parties du corps de June, un sourire en coin se forma sur son visage si terrible parfois de cruauté. Ses doigts, alors qu'ils avaient commencé à ne commettre que des caresses, s'emparèrent des cuisses de la belle violemment. Vitaly quitta le lit et tira la jeune femme, l'entraînant à genoux en quelques secondes. Il la réceptionnait, plaça une main à sa gorge pour l'étrangler : créant l'instinct d'ouvrir la bouche pour prendre davantage d'air. Mais au lieu d'absorber de l'oxygène, ses lèvres pulpeuses en vinrent à entourer le membre de Vitaly — ce dernier n'avait entrepris qu'un seul coup de rein, mais il enchaîna par d'autres une fois qu'il fut bien positionné dans la gueule de la demoiselle. Il la savait réticente à ce genre de pratiques (comme toutes celles en réalité qu'aimait le jeune homme) et au lieu de la mettre en confiance, il la forçait à ingurgiter son sexe, à le sentir passer et repasser sur sa langue. Et en pressant toujours un peu son cou, il ne lui laissait pas le choix quant à commettre une fellation ou non. Ce n'est qu'au bout d'une minute, ou deux, alors que Vitaly prenait du plaisir à abuser d'elle, qu'il relâcha son étreinte. Comme pour voir ce qu'elle ferait, ayant désormais la liberté. Celle-là même qu'il lui confiait pour mieux lui montrer peu de temps après que des barreaux entouraient cette liberté. Avec sa queue dans la bouche, June paraissait si adorable. Une joue gonflée par l'acte, les yeux plus larmoyants, et surtout les premiers pas qu'elle devait commettre : pour se placer sous le joug de Vitaly



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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeSam 10 Déc - 10:21


ღ PLEASURE IN PAIN & VIOLENCE ღ

En proie à une peur sans nom, June avait à certains moments réussi à vaincre le mal à l'aise qui la tiraillait depuis le moment où elle avait su que Vitaly avait payé le prix fort afin de jouir des plaisirs de son corps l'espace d'une journée. Et au vu des traitements qu'elle subissait en sa présence, on ne pouvait la blâmer pour de tels ressentis. Mais il arrivait aussi que parfois la jeune fille se perde dans les méandres insoupçonnables des plaisirs pervers de cet homme ; alternant à la fois douceur et fermeté, violence et sensualité. Certes elle se refusait à se l'avouer, ayant bien trop honte d'elle-même pour ça cependant les choses étaient ainsi : parfois l'avocat lui faisait ressentir une euphorie sexuelle qu'elle ne trouvait nul part à ailleurs, ce qui au vu de sa position lui permettait d'atteindre l'extase tant attendu. Si seulement celui-ci était tout le temps comme ça, si seulement il ne changeait pas radicalement de vision d'elle à certains moments. Tout aurait pu merveilleusement bien se passer. Hélas, il faut croire que les démons de Vitaly menaient la barque dans son esprit, au commande de pulsions malsaines et dépravées que devaient subir June sans broncher. Que celui-ci veuille jouer au dominant et imposer son pouvoir était une chose, ce n'était pas le premier de ses clients à désirer baiser ainsi, mais de là à la forcer ou en venir à attenter à sa vie en était une autre. Chaque fois que cet homme posait ses mains autour de son cou, la demoiselle sentait l'effroi l'envahir avec rapidité, sachant pertinemment qu'il allait refermer son étreinte et serrer davantage. Mais le plus dire pour elle était sans doute lorsque ce dernier insistait pour qu'elle lui fasse une fellation. Il ne lui demandait pas son avis et la tenant fermement insérait sa virilité dans sa bouche sans que la pauvre enfant ne puisse rien faire. Agir de la sorte refoulait littéralement la brunette qui - même pour une pute - avait été traumatisée par ce geste déjà employé par cet ancien client qui l'avait pratiquement battu à mort dans la rue avant que Sevastien ne vienne l'aider. Elle était comme bloquée si on l'obligeait donc, et Vitaly savait parfaitement que c'était le cas, sinon il ne la forcerait pas à faire ça, à aller au de là de ses envies et de ses limites. C'était encore plus jouissif pour lui. Et dans ce cas, le rêve de la jeune fille si on put dire, se transformer alors en un véritable cauchemar.

Mêlant sa main à celle de son client pour venir jouir de ses propres plaisirs, June tentait toujours te retenir ses gémissements pourtant tant désirés à cet instant, remarquant que celui-ci semblait y pendre le même plaisir particulier. Elle s'exécuta également sans honte mais toujours aussi tremblante lorsque Vitaly pris l'une de ses mains pour la faire glisser dans son boxer, là où se trouver la preuve du désir puissant qu'il ressentait pour la prostituée à cette instant. D'un geste délicat, qui se voulait retenu, elle commença à le caresser alors qu'elle continuait de ressentir sa fièvre l'envahir de toute part. Rien n'aurait pu être mieux, elle aurait tant voulu que cela reste ainsi … qu'il reste ainsi. « Ferme les yeux. » , lui-dit-elle en venant lui-même glisser sa main sur ses paupières pour l'inviter à le faire. Encore sous le coup de l'excitation, June pouvait sentir son cœur marteler sa poitrine, comme si ce dernier tentait de s'y extraire. C'est dans le noir complet qu'elle lui obéit, le haut de son corps ondulant toujours de sa respiration saccadée et terriblement attrayante pour les yeux de tout homme. Peut-être trop pour un d'ailleurs. Légèrement apeuré car ne sachant ce qu'il était sur le point de lui faire, la jeune fille tentait de respirer du plus calmement possible, faisant redescendre sa pression sanguine à un seuil plus raisonnable. Elle sentit tout d'abord la violence de ses lèvres rencontrer sa peau et plus particulièrement sa poitrine généreuse pour l'occasion avant d'entendre le bruit de sa ceinture se défaire ; du moins c'est ce qu'elle avait cru entendre.

Mais elle n'eut guère le temps de se poser davantage la question que déjà elle sentait une force redoutable la tirer par les cuisses hors du lit. Sous le choc elle ouvrit directement les yeux, son visage marqué par la surprise la plus totale alors que sans plus attendre elle se retrouvait complètement nu, à genoux, à bonne hauteur du sexe de Vitaly. Et ce qu'elle craignait le plus était sur le point une nouvelle de se produire. Elle tenta vainement de dévier sa trajectoire mais déjà son bourreau l'attrapait par la gorge et, forcée d'ouvrir la bouche pour respirer, se retrouva finalement suffoquant sous le coup du membre à son apogée de ce monstre dans sa bouche. Elle ne pouvait rien faire. Les yeux écarquillés par la violence de ce qui venait de se produire, alors que quelques secondes avant tout était merveilleux, June implora du regard son assaillant d'arrêter son entreprise. Néanmoins celui-ci semblait se moquait éperdument de ses désirs à elle. Il n'avait que faire de ses supplications en tout genre, lui donnant de cette manière davantage de pouvoir et de domination. Plus June luttait, plus Vitaly se délectait de la soumettre à son joug. C'était aussi simple que cela. Elle aurait vraiment tout fait pour se défaire de cette dégradante position qui l'écœurait au plus au point. Gesticulant, luttant pour s'en sortir, elle ne pouvait qu'assister à son sort, de légères larmes venant perler l'extrémité de ses yeux et couler par la suite sur ses joues rosées. Le diable que pouvait être Vitaly venait enfin d'apparaître. Il n'avait pas fallu si longtemps finalement. C'est après un temps interminable pour la victime que ce pervers la délivra enfin de cette torture tout autant physique que psychologique. A peine relâchée que sans plus attendre, paniquée par ce qui venait de passer, la demoiselle prit ses jambes à son coup pour échapper à cette perversité sans nom. Elle sortit de la chambre à pleine vitesse pour rejoindre le salon où elle attrapa en route sa veste toujours posée sur le canapé et se jeta sur la la porte de sa délivrance. Elle tordit la poignet pour l'ouvrir. Elle aurait pu courir vêtue de sa simple tenue d’Ève dans les couloirs de l'immeuble qu'à cet instant cela lui aurait été égal, tant elle souhaitait juste quitter cette prison aux barreaux dorés. Malheureusement la porte ne s'ouvrit pas, le loquet restant verrouillé sous le poids de la peur de la prostituée. Vitaly devait avoir fermé à clef derrière elle. Médusée par la situation, elle n'eut pas le temps de se retourner que déjà elle se fit plaquer contre la cloison, son tortionnaire collé contre elle avant qu'il n'en vienne à la faire voler par terre et venir de nouveau s'agglutiner sur son corps frêle et tremblant de peur. L'effroi avait pris place dans ses yeux alors qu'elle lui faisant face à présent. Épouvantée, elle commença à le supplier : « Lâche-moi ! Je t'en prie, garde ton argent je ne dirais rien mais laisse moi partir ! ... ». Elle aurait voulu se débattre mais les mains de Vitaly retenaient les siennes au dessus de sa tête, bloquée au sol par la force de ce dernier.


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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeSam 10 Déc - 19:26





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Comme il s'y attendait, Vitaly n'était en présence que de la prude et timide June, innocente jeune fille qui paraissait recouvrir sa virginité à chaque début de coït. Il l'avait placé sur le lit et entreprit de la faire succomber — lentement — au plaisir. L'avocat y était en partie parvenu, réclamant désormais un traitement de faveur équitable : mis à part pleurer et gesticuler pour se libérer, elle ne fournit guère une prestation à même d'offrir au salopard l'idée que son argent était bien placée. Si son minois en train d'encaisser une queue n'avait pas été une vision si idyllique, il l'aurait probablement laissé repartir à l'Aphrodite et reporter ses exigences sur une autre. Les prostituées, là-bas, ne manquaient jamais de l'aguicher, à quand bien même jusqu'à présent il n'avait réclamé que Diablo. Sans trop savoir pourquoi. Souvent non-consentante, distraite, elle fournissait un réceptacle pour ses pulsions qu'elle-même créait sans au final les assumer. Fermant un peu les yeux tout en soupirant, il introduisit jusqu'à la gorge féminine son membre : ressentant la salive de la pauvre prostituée qui en venait à imbiber l'objet de ses sévices les plus douloureux. Les fellations, ce n'était décidément pas le domaine où son expertise était à même de le satisfaire.

Cessant de solliciter la cavité buccale de June, cette dernière jugea bon de s'enfuir. Lassé, éreinté par le comportement de la prostituée, Vitaly ne se pressa pas pour la retrouver tout contre la porte de l'appartement, s'activant à l'ouvrir. En vain. Il lui était facile de préméditer le moindre des actes de June, guère convaincante au pieu et n'acceptant au final l'argent et/ou la douleur presque distraitement. L'heure de s'offrir cependant du plaisir était venu pour l'avocat, conscient que ses actes fragilisaient la prostituée sans l'entraîner là où il le désirait. Il ne comptait cependant pas devenir le charmant client qui la sortirait du bordel en promesses et caresses suaves. Rapidement, il la ramena à même le sol : bloquant les bras en tenant d'une main les poignets, lui écartant les jambes avec ses genoux. S'il lui fallait la violer pour la baiser, il n'y voyait aucun inconvénient. Elle émit une nouvelle supplication, à ranger parmi les dizaines et les dizaines qu'il avait déjà entendu de sa part. « Je t'ai payé pour la journée, tu as accepté : assume. » déclara-t-il froidement, caressant le sexe de June avec le sien. Totalement nue, piégée par la force de Vitaly, elle ne put rien faire lorsqu'il inséra lentement sa queue en elle. Un coup de rein plus véloce aurait arraché un cri à la jeune femme — il voulait cependant entendre un gémissement plaintif de sa gorge à mesure que les centimètres de chair se calaient en elle. Démarrant dans un tempo presque lent, Vitaly reprit ses habitudes et s'installa dans des mouvements plus fluides. Il relâcha peu à peu June : l'étrangla lorsqu'elle voulut se débattre à nouveau. Cette fois-ci, il ne lui laisserait pas l'occasion de lui présenter son petit cul et de fuir dans une autre pièce. Il serra, serra la gorge alors qu'il la culbutait violemment : ressentant l'intimité de la jeune femme qui se contractait autour de sa queue.

Bien des projets affluaient à l'esprit du jeune homme, pour aujourd'hui comme pour les jours à venir. Il appréciait le combat qui se menait entre eux deux, à chaque rencontre, mais cela avait tendance à lui provoquer ces derniers temps davantage de l'ennui. Elle fuyait, fuyait, acceptant l'argent puis le refusant, prête à donner son corps mais se détournant de tout ceci dès lors que les morsures et les claques débarquaient. Il se demandait si les autres clients de la jeune femme étaient des anges pour qu'elle soit si peu à même de faire avec les pulsions de l'avocat. Il continua à se caler dans l'entre-jambes de June avec sévérité, mordant un sein de la jeune femme durant un bref instant de pause. Le vagina de June était chaud, et peu à peu guère réfractaire à ce qu'un membre masculin y glisse, y coulisse ; vicieusement, il s'en extirpait parfois totalement pour s'essayer à y entrer jusqu'à la garde. Le visage de la prostituée se retrouvait déchirer entre douleur et plaisir d'autant plus. Il se décida malgré tout à régler les problèmes qu'elle pouvait concevoir en gesticulant. La traînant jusqu'à une commode du salon, les mains sur ses fesses : il la porta à un mur où le choc de son dos contre la paroi provoqua en parallèle un mouvement plus sourd de son bassin contre le sien.

Il lui ravageait au fur et à mesure littéralement son intimité. Repoussant un bref instant ses projets pour la "calmer", il la laissa être sur la commode, ayant repoussé d'une main certains objets encombrants se trouvant dessus pour mieux s'occuper de June. Prenant parfois dans une main la tignasse de la putain : « Parle-moi vulgairement. Demande-moi de te faire mal. » soupira l'avocat, les yeux clos et le front contre celui de son esclave. La commode la laissait à la bonne hauteur pour la baiser sans ménagement. Il lui avait fait écarter les cuisses de manière à s'immiscer en elle profondément. Des réponses de la jeune femme, dont il laissa sa langue errer sur une joue, dépendaient du sort de son corps.



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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeMar 13 Déc - 23:04


ღ PLEASURE IN PAIN & VIOLENCE ღ

June luttait, encore et toujours alors que Vitaly l'avait plaquée au sol tel le poids plume qu'elle pouvait être face à ce corps musclé et hargneux de chaire fraîche. Elle était piégée, sous le joug de son ravisseur qui la maintenait pour l'empêcher de s'enfuir de nouveau. La dernière chose qui lui restait été sa liberté et il venait de l'en privait, une nouvelle fois. Sa réponse à sa supplication eut l'effet de paralyser la jeune fille qui se débattait tant bien que mal depuis sa mise à terre. Les yeux apeurés elle plongea son regard dans celui de son client, sachant que quelque part il avait raison. Malgré la peur que lui inspirait cet homme, elle avait accepté de venir dans son appartement sachant pertinemment ce qui pourrait s'y passer. Sevastien lui avait demandé son avis et elle lui avait menti, à ses risques et périls. Maintenant elle devait en assumer les conséquences, plaisantes ou non. Et elle était loin d'être au bout de ses surprises. En effet, alors que Vitaly se trouvait juste au dessus d'elle, maintenant ses bras pour l'empêcher de se mouvoir, celui-ci en vînt à lui écarter ses jambes d'un revers de genou, aussi simplement qu'il l'avait arrachée de la porte d'entrée. Suite à ce geste, il ne fallut guère de temps pour que son bourreau n'en vienne à la pénétrer, avec une violence telle que le cri de souffrance de June déchira le silence ambiant. Un cri provoqué par le raclement du membre de Vitaly au fond de son vagin avec une rage et une soif de sexe bien visible. La douleur lui déchira le bas ventre, à un point tel qu'elle se tordit sur le coup, galbant son dos et donnant sa poitrine généreuse pour l'occasion en pâture à ce monstre avide de soumission. Elle ne pouvait rien faire, spectatrice de son propre corps. Le supplice s'intensifia à mesure que l'avocat s'incrustait en elle, activant ses coups de rein jusqu'à sa garde, ne lésinant pas sur l'ardeur qu'il pouvait accorder à ses vas et viens redoutables. Étouffant parfois des gémissements, elle ne parvenait cependant pas à rester silencieuse tant ce coït la prenait aux tripes. Car oui, plus Vitaly continuait et plus finalement la prostituée se laissait aller, sachant parfaitement qu'elle ne pourrait s'éclipser. Elle préférait donc tenter de profiter de l'appétit insatiable du jeune homme plutôt que de souffrir le martyre.

Mais alors qu'elle commençait enfin à se délecter des ondulations provocantes de cet homme, ce dernier l'entraina soudainement contre la commode du salon, plaquant son corps si frêle et humide contre l'objet en question. Elle sentit sa tête frappait fortement le rebords du meuble, toutefois elle oublia bien vite la brûlure du choc face à la pénétration toujours aussi intense de Vitaly. La contraction de son antre ne cessait de s'accroître, provoquant en elle une véritable euphorie malsaine. C'était fou de voir à quel point June pouvait passer du calvaire avec ce client au délice suprême. Elle ignorait comment cela était possible – peut-être était-elle complètement déglinguée, trouvant une jouissance où elle pouvait se réfugier – mais elle parvenait à succomber au diable en personne. Ces sévices devenaient une véritable bouffée d'adrénaline. Elle était loin la jeune vierge effarouchée qu'elle avait été il y a de ça quelques années. Tout, absolument tout de cette personne avait disparu pour laisser finalement place à une pute dépravée, masochiste, soumise et nymphomane par dessus le marché. Ses parents n'étaient plus là pour la voir, heureusement d'ailleurs ; néanmoins si son frère était présent, allez savoir ce qu'il penserait de tout ça … le même qui l'avait abandonné et voué à cette vie de misère.

Vitaly ne lui laissa finalement pas le temps de penser à quoique que ça soit d'autre puisqu'il vînt violemment lui tirer les cheveux vers l'arrière alors que June s'était fermement accrocher à lui. Approchant son visage à quelques centimètres de celui de la demoiselle, collant à présent son front contre le sien, il lui dit : « Parle-moi vulgairement. Demande-moi de te faire mal. ». Serrant les dents en sentant ses racines capillaires être emportées avec fermeté par sa main, elle le regarda de haut, prête à lui prouver qu'elle n'était pas sa favorite pour rien. Se dégageant d'un coup de tête, elle vînt coller sa bouche à son oreille alors que l'avocat pilonnait son intimité avec conviction : « Baise-moi ! Prends moi comme la pute que je suis et attache moi là où bon te semble pour récolter ce qui te revient droit ! ... ». Sa voix avait été sèche et incroyablement sexy, ne s'étant nullement soulagée pour extraire ses mots de sa propre initiative. Elle savait qu'en lui parlant ainsi elle allait sûrement provoquée de nouveaux sévices sur sa personne mais elle lui avait obéit, étrangement excitée à l'idée de devenir sa poupée de luxure et de débauche. June afficha un sourire diablement envoutant qui ne laisserait probablement pas le jeune homme indifférent. Sans attendre qu'il agisse, elle vînt lui mordiller la lèvre inférieure, sentant toujours particulièrement son membre en elle, jubilant à cette volupté incandescente.


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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeDim 18 Déc - 17:07





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En un coup de rein, il faisait basculer June dans une attitude très différente de celle qu'elle revêtait continuellement. Il aimait le tempérament, la rage qui habitait les yeux de la prostituée dès lors que douleurs et plaisirs immergeaient son corps. Les mouvements du bassin masculin étaient secs. Les mouvements du bassin masculin faisaient ployer le corps de June, tordant sa voix qui n'offrait plus que des plaintes aigües. Vitaly appréciait tant de se sentir en June. Une extase que de parcourir le vagina de sa propriété encore et encore, alternant sans cesse ce qu'il lui faisait. Soit il s'enfonçait totalement, cherchant à buter contre le fond de l'intimité : soit il ne la pénétrait qu'en partie, ressortant et réinvestissant immédiatement le corps de la brûnatre. C'en était presque du viol, au début, mais en une poignée de secondes le consentement de June était telle qu'elle en écartait les jambes d'instinct, s'offrant sans la moindre gêne à son bourreau. Il en profita. Il tisonna l'entre-jambes de June. Fermant parfois les yeux pour contenir la satisfaction, il s'accordait à maintenir un tempo tonitruant.

Sur le meuble en bois, la pute encaissait. La pute se voyant devenir ce qu'elle aimait tant : une poupée baisable qui se faisait baiser. L'arrogance de Vitaly lui donnait constamment à penser qu'elle rêvait parfois la nuit de partager un rapport sexuel avec l'avocat, faisant fuir ainsi de ses pensées tous les autres hommes qui croyaient la détenir. Vitaly n'y croyait pas : il le savait. Sûr de lui, autoritaire, il s'adonnait à manipuler la belle pour la sculpter à l'image de ses fantasmes. Et comme pour obtenir une preuve, il ne manqua pas de demander à June de dire tout haut ce qu'il désirait tout bas. Elle s'exécuta, au-delà de ses espérances. Chaque syllabe prononcée avec une perversité sans faille. Il en vint à offrir la conclusion à la prostituée, l'embrassant et enfonçant sa queue profondément en elle. Restant en place tout en s'accaparant des lèvres pulpeuses dont elle était détentrice. Cette relation les flinguait tout deux. Lui, à accorder tant d'importance aux pensées et aux actions de June. Elle, se voyant progressivement modifiée sans totalement s'en rendre compte. En prononçant quelques mots, la prostituée se condamnait à souffrir — et qu'elle le sache était certainement le plus excitant. La soulevant à nouveau, tout en étant en elle, Vitaly la ramena à la piaule qu'elle avait fui si rapidement.
Cela semblait avoir eu lieu il y a des années.

Il la reposa sur le lit, presque tendrement, mais tendit le bras vers l'une des tables de nuit pour en tirer une paire de menottes dont l'acier froid ne tarda pas à bloquer les poignets de la jeune femme dans son dos. Elle avait demandé à être baiser, elle allait l'être. Les deux genoux sur le matelas, dos à son bourreau, June était désormais sans moyen quant à tout ce qui allait pouvoir se passer. Palpant les fesses de sa propriété, il décida dans un premier temps d'enfouir son membre à nouveau dans l'intimité déjà si ardent de June. La prenant en levrette avec une énergie nouvelle à même de faire dérailler les cordes vocales de la belle. Il lui faisait ressentir chaque centimètre de chair en s'insinuant parfois si lentement. Mais ce n'est qu'une poignée de minutes plus tard, alors qu'il avait conscience de rendre si satisfaite sa poupée, qu'il entreprit de placer son pénis entre les fesses de la lolita. C'était salace. C'était vulgaire, hard. Au lieu de la laisser toujours avec deux genoux sur le lit et le visage enfoncé dans un oreiller, il l'avait définitivement couché et c'est étendu sur elle que Vitaly s'employait progressivement à la pénétrer. Parvenant au fur et à mesure à s'immiscer plus conséquemment en elle. Qu'importait les gémissements et les supplications, elle était de toute manière attachée et le poids de Vitaly, celui-là même qui était à la manœuvre pour lui permettre de baiser le petit cul de June, la bloquait.

Ce n'est que lorsqu'il en vint à pouvoir commettre de légers allers-retours que ses mains offrirent le luxe à June de prendre un tant soi peu de plaisir : son intimité se voyant agresser par les doigts d'honneur et les index friands de la déposséder de ses moyens. Comme une actrice porno professionnelle, elle se retrouva ainsi bien vite à devoir accepter sa condition et à subir une sodomie toujours plus violente. Toujours plus agressive. Vitaly en mordit une épaule de June pour entendre de sa part un énième cri : et dans un même mouvement, il la fit se relever un peu en la tirant par les cheveux. Envoyant une impulsion au corps de sa poupée qui se retrouva à nouveau avec les deux genoux sur les draps et la queue de son bourreau en train de la limer avec ardeur. Parfois, dans les chambres de l'Aphrodite, il pouvait surprendre le regard de June dans un miroir tandis qu'il la baisait ainsi : à voir dans ses yeux et la honte et le plaisir qui se mélangeaient. Car au vu de l'aisance à laquelle il pouvait désormais la faire sienne, il n'y avait plus aucun doute quant au fait qu'elle éprouve un tant soi peu de satisfaction personnelle à pouvoir ainsi convenir à Vitaly. Même si elle était sa chienne, elle possédait l'immense joie de se savoir être l'unique : pour le moment. Elle se faisait culbuter dans les draps de l'homme qui la payait depuis plusieurs mois. Et par un homme qui lui inspirait autant de mépris que d'envie. Il entreprit de la défoncer avec une rigueur démentielle, il lui tenait les hanches et allait/venait sans chercher à se ménager. Les claquements de leurs bassins étaient si rauques, si indélicats. Il entreprit de changer d'orifice de temps à autre, fragilisant encore plus le corps de sa compagne pour la journée. Fessant peu à peu la belle. Et la baisant/l'enculant sans aucune gêne, à quand bien même il pouvait lui-même ressentir de la douleur à la percuter sans arrêt.

Il offrit le répit d'une poignée de secondes à la belle lorsqu'il la quitta : Vitaly se coucha sur le lit et entraîna la jeune femme sur lui. Embrassant enfin la martyre de ses pulsions tout en aguichant et tordant la pointe de ses seins. Menottée, la belle ne put pas guider le sexe de l'avocat dans le sien alors il le fit à sa place. Elle se retrouvait à la fois libre et prisonnière, devant par la seule force de son bassin et avec un tant soi peu l'aide de son maître se baiser sur lui. Et comme gage, si elle échouait, la main de Vitaly emprisonnait son cou et l'étranglait juste légèrement : histoire de lui faire accélérer la cadence. C'était si cruel, mais jouissif. La clé des menottes traînait sur la table basse, juste à côté, à portée de regard. Mais impossible pour la belle de se délester de ses menottes sans le consentement de l'avocat qui aspirait pour le moment le sommet d'un de ses seins avec une avidité mordante. Et au vu de sa performance pathétique il y a peu quant à ses talents buccales, il ne manquait pas de lui communiquer du regard son désir de la voir — même piégée — accomplir des actes salaces à souhait. Jusqu'à ce qu'il se décide à la libérer, ne perdant guère de temps ; ré-enfonçant sa queue dans la bouche de June tant il aimait sa fellation.

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A. Pippa-Everly Jackson
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MessageSujet: Re: june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]   june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT] Icon_minitimeDim 29 Jan - 16:20


ღ PLEASURE IN PAIN & VIOLENCE ღ

Il avait suffit de quelques minutes à l'avocat pour obtenir un changement de relation des plus radicales. Certes, June était toujours aussi effrayée à l'idée d'être seule aux mains de son bourreau mais quelque part au fond d'elle, même si elle refusait de se l'avouer ouvertement, la prostituée qu'elle était éprouvée une sorte de plaisir honteux. Est-ce la douleur causée par ses rapports bestiaux avec lui qui la transformait ainsi ? Où est-ce tout simplement le fait que dans ce genre d'ébats malsains elle pouvait s'abandonner corps et âme à cet homme, lui offrant tout ce qui lui restait en elle. Probablement un peu des deux à vrai dire. En effet, depuis que Vitaly était entré – au sens propre, comme au sens figuré d'ailleurs – dans la vie de la catin, la belle avait changé du tout au tout dans son comportement avec les autres employées de l'Aphrodite, voir avec ses autres clients ou même Zecharia. Plus renfermée, plus agressive, elle ne supportait plus vraiment l'idée de voir Vitaly partir avec une prostituée autre qu'elle lorsqu'il venait au Manoir. Cette jalousie nocive commençait à la rendre de plus en plus dépendante de cet individu. Quand bien la peur habitait ses yeux en sa présence, ils exprimaient aussi l'envie d'être culbuter violemment, ne désirant que coller son corps au sien au point d'oublier tout le reste autour d'elle. En fait c'est bien simple, Vitaly la modifiait à son image, il en faisait sa poupée, sa marionnette qu'il pourrait par la suite contrôler de la manière des plus obscènes. La lutte n'était plus en vérité une option. Elle avait pu le constater tout à l'heure en essayant de s'enfuir, apeurée par ses pulsions. June était désormais prisonnière de ce monstre avide de rage sexuelle, elle en était sa victime favorite.

C'est ainsi qu'elle exécuta les ordres de son maître, devenant la catin vulgaire et dégradée qu'il souhaitait. Dévouant son corps à tous ces instincts animales, la jeune fille faisait tout pour le satisfaire bien que sa présence à elle seule suffisait déjà à réveiller la bête démoniaque vivant à l'intérieur de l'avocat. Encaissant ses coups de rein haineux, June ne réfléchissait plus, elle subissait et agissait en conséquences. Et quand de temps à autre Vitaly lui faisait l'honneur de l'embrasser, la prostituée ne se faisait pas prier pour venir se coller à ses lèvres si douces comparées à la brutalité de ses autres gestes. De plus en plus habituée à ces situations, la belle en venait même à mordiller ses babines quand elle en avait l'occasion. Elle lui donnait son corps, prenant parfois en retour une parti de lui. C'était un maigre réconfort et voilà sans doute pourquoi elle trouvait son plaisir ailleurs. Violence, coups, perversité, dépravation.. tant de mots pour définir la relation qui animait ces deux êtres. Au même moment où elle pouvait se donner l'espoir de souffler l'espace d'une seconde, Vitaly s'empressa de nouveau de briser son espérance en venant s'enfoncer le plus profondément en elle. Ce geste arracha d'ailleurs un cri rauque et provocateur chez la jeune femme qui ne put s'empêcher de planter ses ongles dans le dos de ce dernier, cherchant désespérément à se rattacher à un semblant de réalité. Mais son client en avait loin d'avoir fini avec elle – encore moins depuis qu'elle avait osé lui parler de la sorte – et sans perdre une seule seconde de plaisir controversé, il la souleva pour l'emmener en direction de la chambre, lieu qu'elle avait fuit quelques minutes plutôt. Cependant, à croire que cela s'était passé il y a des années lumières au vu du retournement de situation.

A peine avait-elle quitté le salon que déjà elle se retrouvait posée sur le lit avec une délicatesse qui la surprendrait toujours de la part de cet homme. Mais une fois n'est pas coutume, ceci n'était que le calme avant la tempête. En effet, sans perdre une seconde Vitaly s'empressa de récupérer un nouveau jouet de torture pour sa perfidie sans nom. Il retourna June avec une aisance déconcertante, cette dernière offrant comme à son habitude son corps nu à sa volonté monstrueuse. Et c'est son sexe venant se frottant contre ses jolies petites fesses pulpeuses et tremblantes que l'avocat emprisonna ses poignets à l'aide de menottes des plus solides. Impossible à présent pour elle de se mouvoir et encore moins d'essayer de s'enfuir. Désormais elle n'avait plus aucune issu à part encaisser et subir, encore et encore. Mais bizarrement June n'avait plus peur. Elle était comme possédée. Elle se préparait seulement à recevoir, rien de plus. A genoux sur le lit, dos à son bourreau comme il l'avait implicitement exigé d'elle, la prostituée fixait le mur droit devant elle. Plus aucune pensée ne traversait son esprit, elle s'était vidée de tout ce superflue. Plus rien ne comptait, plus rien n'avait d'importance. La catin pouvait sentir les mains du pervers caresser ses courbes généreuses puis venir palper ses fesses avant d'enfouir sans autre forme de procès son membres viril au fin fond de son intimité à peine remis de l'ébat du salon. Prise à présent comme une chienne, June se retînt un temps de laisser échapper sa douleur partagée au plaisir mais plus cette fornication s'accentuait, moins la brunette ne pouvait se maintenir si bien qu'elle se mit une fois de plus à hurler de toutes ses forces, gémissant à en perdre haleine. Il ne lui laissait aucun répit, la martelant de toute part. Et alors qu'elle s'habituait doucement à cette nouvelle position, Vitaly décida d'accentuer le côté trash de ses pénétrations ; se retirant un instant de son intimité pour venir s'insinuer directement dans son petit cul. Cette initiative soudaine eu le don de littéralement tétaniser la jeune femme au point tel que ses jambes se mirent à trembler, ses poings se serrer ainsi qu'une subtile larme s'échapper du coin de son œil. Crispant sa mâchoire sous l'impacte de l'impitoyable intrusion entre ses fesses, la brûlure était telle qu'elle succomba au poids de son maître sur son corps, June étant à présent affalée sur le dit lit. Hurlant, suppliant, gémissant.. elle mordait parfois les draps pour se retenir de crier autant.

La seule compensation dans cette hargne sexuelle était sans nul doute le doigté expert de Vitaly dans son entre jambes, lui offrant de rares moments de jouissance incomparable. Elle alternait ainsi les grognements de concupiscence et de calvaire. Et comme si cela n'était pas suffisant, l'avocat venait en plus de ça mordiller sa peau d'un blanc perlé. Sa respiration était courte et saccadée. Elle aurait voulu lui rendre ses attaques mais sa position actuelle ne lui permettait rien si ce n'est de prendre toujours plus. Tirant soudainement sur sa longue chevelure bouclée, June ne put que relever la tête et obéir une fois de plus à ses désirs. Devant tant d'emballement de la part de ces partenaires respectifs, la prostituée avait comment perdu l'esprit. Il jouait de ses pulsions démentielles sur elle, il la rendait folle, la troublait au plus point, lui faisant complètement perdre pied. C'est comme si toute logique l'avait quittée.

Il finit enfin par la laisser. June en profita pour reprendre sa respiration, cependant Vitaly était loin d'en avoir fini avec elle. La catin pouvait le détester, le mépriser intensément, elle devait lui reconnaître une qualité exceptionnelle : l'endurance. Rares étaient ses clients qui parvenaient à tenir une telle cadence.
Il l'embrassa tout en lui titillant la pointe de ses monts d'ivoire, sa victime tentant d'atténuer la douleur qui régnait au niveau de son bas ventre. Mais très vite le jeune homme la poussa à « s'empaler » sur lui, June devant s'exécuter avec la seule force de ses cuisses et de son bassin. Ondulant comme elle pouvait, elle faisait abstraction de la souffrance physique qui la martelait de toute part, venant embrasser et/ou lacérer à son tour le torse dénudé de Vitaly. Le bout de ses seins caressait avec provocation ses muscles fins et dessinés. Toutefois cela ne dura qu'un temps car son propriétaire enlaçait déjà de ses mains son pauvre petit cou, serrant de temps à autre sa gorge à sa triste merci. Elle suffoquait, elle souffrait mais elle obéissait. C'était dans l'ordre naturel des choses à présent. Ainsi, lorsque l'obsédé en vînt à suggérer une autre de ses envies, la belle se résolut derechef à le satisfaire. Elle se retira comme elle put et s'agenouilla à proximité de l'entre jambes du requin avec un sourire diablement sexy. Difficile de reconnaître la chétive gamine qui avait franchi il y a moins d'une heure l'antre de cet appartement. Petite salope dépravée était plus juste comme terme à présent. Ne pouvant le tenir dans ses mains, June abaissa sa tête pour venir ingurgiter jusqu'à la glotte la virilité s'imposant à elle. L'astiquant de sa langue, elle poursuivit par de longs vas et viens troublés par moment par des changements soudains de vitesse. Se laissant entrainer par son propre poids, la possédée alternait les pénétrations buccales avec une telle dextérité qu'on avait du mal à croire qu'elle n'était guère à l'aise avec ce genre d'activité.

Et à croire que l'ancienne June avait totalement disparu car à peine eut-elle fini son entreprise que déjà elle se releva, s'extirpant lentement du lit sans jamais quitter du regard son bourreau. Elle voulait attirer son attention, observer sa prochaine réaction face à son corps nu et si fragile en sa présence. C'est d'un regard provocateur accompagné d'un sourire des plus malicieux qu'elle en vînt à se pavaner d'un côté du lit, longeant l'infime barrière qu'offrait le bois du mobilier entre elle et Vitaly. Chaque fibre de son corps était en alerte et pourtant cela ne l'empêchait pas de continuer la bête. Elle laissait même ses courbes onduler sous son regard. Elle l'appâtait et elle aimait ça. C'est d'ailleurs avec la plus grande tentation qu'elle entreprit d'attraper délicatement le bras de Vitaly afin que celui-ci la suive vers leur prochaine destination qui n'était autre que la douche de l'appartement. Dos à lui, elle ouvrit la porte en le lâchant pour mieux s'enfoncer dans la pièce. C'est lorsqu'elle atteint la douche que June se retourna un instant vers son client, cet air aguicheur sur le visage. « Qu'attends-tu pour me rejoindre ? », dit-elle alors d'une voix diablement sexy avant d'enjamber la marelle et d'allumer le robinet. En à peine quelques secondes une vague d'eau chaude s'écrasa sur le sommet de son crâne puis de ses épaules. A ce moment précis la belle put ressentir tout le bien être de la cascade tempérée ondulant à présent le long de son dos, donnant ainsi à sa silhouette une apparence encore plus désirable. Elle ne le savait que trop bien en prenant un malin plaisir à le narguer de la sorte, n'attendant qu'une seule et unique chose : qu'il la rejoigne pour mieux la posséder de nouveau. C'est toujours en l'observant que June en vînt à se caresser doucement les seins, titillant ses pointes du bout des doigts tout en savourant le plaisir personnel qu'elle s'offrait. Mais rien n'était comparable en ce qui allait suivre, elle le savait mieux que quiconque.
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june/vitaly ϟ « god save the sex » [Sujet HOT]

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